Quel beau début !
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Le jeu de mots de la conclusion mérite les coups de fouet mon petit ! 
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Bien installé 
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En parlant de skin, personnellement, je n’ai plus que le choix de le classique et le « Lemon Curd ». Est-ce le cas pour d’autres membres ?
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Oui c’est normal pour le moment le temps que je fixe quelques petits soucis. Tu utilisais lequel ?
Le night je crois… Bleu et noir en gros.
En fait je m’en fiche un peu du skin pour être franc.
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Oui j’ai quelques soucis a fix dessus en fait
BREAKING NEWS : Roberto ayala quitte lui aussi l’albiceleste
Quelques jours après l’annonce de Pablo Aimar, c’est cette fois-ci Roberto Ayala, adjoint de Scaloni qui quitte l’Albiceleste. Il avait rejoint la sélection à la demande de Scaloni début 2019 afin de conseiller les défenseurs de la sélection.
Leo Scaloni a expliqué en conférence de presse qu’il avait accepté de libérer Roberto et qu’il serait remplacé dans le staff argentin par Javier Mascherano qui viens de prendre sa retraite. La mission d’Ayala avait commencé en 2019 lorsqu’il avait rejoint l’albiceleste avec Walter Samuel afin de conseiller les défenseurs et de combler leurs déficits techniques.
Il se dit que Roberto Ayala devrait devenir l’adjoint de Pablo Aimar dans son nouveau projet. Les deux hommes se connaissent bien puisqu’ils ont joué ensemble cinq saisons à Valencia, et une saison à Saragosse. Ils ont aussi partagé bon nombre de sélections avec l’Albiceleste.
« J’ai beaucoup appris dans le staff de Leo Scaloni au sein de l’Albiceleste. Cela m’a motivé à continuer dans le coaching. J’aime particulièrement m’occuper de la défense. J’aime transmettre mon savoir et je pense que les jeunes aiment apprendre de mon expérience. Comme certains le savent j’ai quitté la sélection pour rejoindre Pablo dans son nouveau projet. Nous sommes très excités par cette perspective et vous devriez rapidement en savoir plus.»
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Et comment ! Superbe !
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Good luck boss
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Ouah ça a bossé dur dur pour ce nouveau bébé ! Et ça donne encore plus envie que les précédentes 
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Roberto « El Ratón » Ayala
| NOM | AYALA |
| PRENOM | Roberto |
| AGE | 47 ans (14/04/1973) |
| NATIONALITÉ |
  Hispano-Argentin |
| SÉLECTION | 116 APP | 7 Buts |
| Nat | Club | Années Actives | App | Buts | Passes | |
|---|---|---|---|---|---|---|
|
 |
Ferro Carril Oeste | 1991-93 | 75 | 1 | |
|
 |
CA River Plate | 1993-95 | 40 | 0 | |
 |
 |
SSC Napoli | 1995-98 | 96 | 1 | |
|
 |
AC Milan | 1998-00 | 35 | 0 | |
|
:valencia: | Valencia CF | 2000-07 | 251 | 12 | |
|
 |
Real Saragosse | 2007-10 | 81 | 4 | |
|
 |
Racing Club | 2010-11 | 15 | 0 | |
|
 |
Argentine | 1994-07 | 116 | 7 | |
 |
TOTAL | 1991-11 | 709 | 25 |
| Nat | Compétition | Années | |
|---|---|---|---|
|
 |
Liga Profesional | 1994 |
|
 |
Serie A | 1999 |
|
 |
La Liga | 2002, 2004 |
 |
:c3: | Europa league | 2004 |
|
:sce: | Super Coupe | 2004 |
A l’heure du football moderne, tourné vers la possession et le jeu offensif inculqué notamment par Pep Guardiola ou encore Marcelo Bielsa; un argentin de 46 ans trouve que le football et plus précisément les rôles de chaque poste ont beaucoup trop évolué à son goût. Certains de ses propos peuvent sembler réducteurs, mais pour Roberto Ayala, un arrière doit défendre, un milieu contrôler le ballon et un avant marquer. Bah ouais, c’est simple le foot.
Il est de cette lignée de grands défenseurs du football argentin, véritable roc de l’Albiceleste entre 1994 et 2007, du haut de ses 115 sélections avec le maillot bleu et blanc. « Les gosses veulent marquer des buts, mais moi ça ne m’intéressait pas spécialement ». Celui qui « n’a jamais voulu tester autre chose » que son poste de défenseur central, possède une vision bien à lui du rôle de ce dernier, et refuse de tomber dans le moule de ceux qui pensent qu’un arrière doit savoir relancer soigneusement le ballon et être un joueur technique: « Le Barça a fait beaucoup de mal avec son tiki-taka. En tous cas, il a fait du mal à certains coachs. Qu’ils préfèrent un défenseur qui sait ressortir propre à un autre qui sait gagner un duel, ce n’est pas bon. On fait fausse route. Un défenseur doit d’abord savoir s’identifier en tant que tel. Sa priorité, c’est d’éviter le danger dans sa surface de réparation. Quelque part, l’Argentine est victime de cette nouvelle mode » racontait-il à Aquiles Furlone, periodista* pour el Mundo Deportivo et So Foot donc. L’ancien double champion d’Espagne avec Valence (2002, 2004) nous parle donc d’une mode pour définir la tâche d’un défenseur qui chercherait à élargir sa palette technico-tactique. Lui semble loin de cette évolution et pense au contraire qu’il vaut mieux se concentrer sur sa mission initiale: gagner les duels; passant au passage, selon certains, à un discours vieux jeu… « Trouver de bons défenseurs est devenu une tâche difficile. Des spécialistes du poste, qui transmettent de la sérénité, qui prennent le poids défensif de l’équipe sur leurs épaules, qui dirigent la ligne de quatre, qui donnent de la voix, qui te disent avec un mot ou un geste d’avancer ou reculer, ça n’existe plus ». Il prend aussi en exemple Daniel Passarella, El Kaiser, champion du monde avec l’Argentine en 1978 et 1986, qui était un défenseur doué avec ses pieds techniquement, mais qui « ne perdait pas un duel ». Le genre de joueur qui résume parfaitement sa vision du poste, sans en faire de trop, en étant focalisé sur les compétences qui lui sont demandées afin de bien défendre. Roberto Ayala reprend: « Si je deviens entraîneur un jour, la première chose que je veux, c’est un défenseur qui défende. Après je chercherai des joueurs pour contrôler le ballon. Un central n’a pas besoin d’être Messi pour faire une passe correcte à son numéro 6 ». Au moins, ça a le mérite d’être clair, sinon limiteur.
Son passage en Italie lui aura permis d’affirmer cette vision de la discipline et du partage des tâches. Tactiquement, mentalement, et dans l’approche de défendre collectivement, le championnat transalpin était une référence fin des années 90. « Pour eux, c’est aussi sacré que la messe » s’amuse même le natif de Parana. Fort d’un passage au Napoli (1995-1998) et au Milan AC (1998-2000), le rugueux central argentin se verra remettre le titre de meilleur défenseur par l’UEFA en 2001 alors qu’il effectue sa première saison en Espagne, à Valence. En parlant des Murcielagos**, Roberto Ayala semble nostalgique et compare son ancienne équipe à l’Atletico de d’El Cholo Simeone: « Certains aiment, d’autres pas (le style de l’Atletico, ndlr). Cela me rappelle notre FC Valence, qui a également disputé deux finales de Ligue des Champions et a marqué une époque entre 1999 et 2008. Notre point fort, c’était aussi la défense, avec les Pellegrino, Björklund, Djukic, Angloma, Carboni. Des mecs qui en imposaient. Physiquement au top et tactiquement très bien préparés. On était pénible à jouer, on se battait sur tous les ballons. C’est avec cette recette que l’on a gagné des titres et concurrencé le portefeuille du Real Madrid et le travail de formation du Barça. Si je deviens entraîneur, c’est cet ordre, cette identité que je veux voir dans mon équipe ».
Mais attention, El Raton apprécie également le football porté vers l’avant, mais avec une réelle distinction entre les rôles de chacun, bien évidement. Lui qui a été dirigé par un certain Marcelo Bielsa avec la sélection. « J’adore le jeu offensif, mais à condition qu’il ne désordonne pas l’équipe ». Bordel, le genre de gamin avec une chambre nickel, sans aucun doute. « Bielsa a une grande qualité, il peut transformer ses équipes en très peu de temps. Il les prend dans une mauvaise dynamique et les remet rapidement d’équerre. C’est quelqu’un qui sait mettre de l’ordre dans un endroit désordonné ». Décidément, on ne rigole pas avec le ménage.
Dans un article paru en 2011 chez So Foot, Roberto Ayala s’est enjôlé d’élire son onze type, et notamment sa base défensive, qui colle parfaitement à la vision du football qu’il prône. Santiago Canizares dans les cages: « Avec un gars comme ça dans ton dos, tu sais que tu peux te permettre de monter tranquillement. Il avait une vraie âme de leader. » Javier Zanetti, André Cruz, Alessandro Costacurta et un certain Paolo Maldini. L’Italie alignée derrière, tout un symbole. L’Inter, le Napoli et le Milan, cet attachement à la rigueur défensive de la Botte. Et devinez qui joue un peu plus haut… Un certain Diego Simeone. Tout sauf une coïncidence, évidement. Retraité depuis 2011, le finaliste de la Ligue des Champions en 2001 avec Valence s’est engagé avec la sélection argentine en janvier dernier pour y devenir conseiller technique du sélectionneur, Luis Scaloni. Avec Walter Samuel, présent également dans ce staff, les défenseurs argentins n’ont qu’à bien se tenir. « Je sais comment sont les argentins: pour eux si tu ne gagnes pas, t’es un bon à rien. » Bah ça tombe bien, l’Albiceleste a besoin de redorer son blason.
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Que c’est beau 
« Il n’y a pas d’amour, il n’y a que des preuves d’Aimar. »
Intrigué @Grobov ?
J’espère qu’elle te plaira.
Je préfères garder mes secrets pour préparer le tout sans pression. Mais en vrai je pensais vraiment faire l’impasse. @JoseSoares ou @Akasha confirmeront.
Installe toi bien, on va démarrer doucement mais j’ai encore quelques surprises dans mon sac.
Merci maître.
Merci beaucoup, j’ai préparé ça depuis un petit moment en espérant que cela plaise au plus grand nombre.
vas y fouette moi nigaud 
Sert toi bien tu vas en avoir besoin.
Merci beaucoup ! Y’a du travail derrière. Chaque année j’essaye de faire mieux visuellement. cette année y’a un mélange de créativité, de rigueur et d’inspiration de ceux qui ont le mieux maitrisé mes jouets parfois mieux que moi même comme @Irons ou @_verron.
Merci bro.
Ehhhh oui 
On passe encore un cap. En espérant que cela te plaise.
Arrêtes je vais rougir 
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Je confirme. 
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Grave!
Tout me hype vraiment entre ta présentation et le design, j’ai hâte de voir la suite !
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Allez je vais te hyper encore un peu plus
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RUMEURS : LE Duo aimar-ayala annoncé un peu partout !
Alors que pablo aimar et roberto ayala ont tour à tour annoncés leur départ du staff de l’albiceleste, la presse argentine se délecte des rumeurs annonçant l’arrivée du duo à la tête d’une multitude de clubs. Tour d’horizon.
Envigado c’est d’abord l’un des meilleurs clubs formateurs du continent capable de sortir des James Rodriguez, des Juan Quintero notamment. Mais c’est surtout un club en difficultés avec une 14ème place lors du tournoi d’ouverture. Le club cherche à se relancer et verrais d’un bon oeil l’arrivée du duo d’argentin pour se relancer.
EL AVISO DE OLÉ : «On voit mal actuellement, Pablo Aimar débuter sa carrière d’entraineur principal en Colombie, et encore moins à Envigado. Si le challenge est intéressant le manque de moyens et de notoriété du club sont clairement un frein malgré un projet intéressant…»
Rosario Central ne fait pas partie des cinq grands clubs argentins, pourtant le club de Rosario qui a formé Angel Di Maria et Giovanni Lo Celso est en constante progression. Le club reste pourtant sur deux exercices compliqués. Eduardo Bauda a été débarqué et Kily Gonzalez a pris sa place. Seulement l’ancien international argentin connais des débuts en deçà des espérances du board.
EL AVISO DE OLÉ : «La piste est crédible mais on reste mitigé sur deux points. Déjà rien ne dit que le board de Rosario cherche effectivement à remplacer Gonzalez mais en plus on a du mal à imaginer Ayala et Aimar qui ont joué longtemps avec Kily dans la course pour le remplacer. À voir.»
Pablo Aimar disponible et prêt à entraîner un club pro, ça fait tout de suite parler et vendre. L’Universidad Chile, l’un des plus grands clubs chiliens a offciellement confirmé son intérét auprès du jeune coach argentin. L’Universidad veut retrouver les sommets et concurrencer l’Universidad Catolica et les chiliens ont toujours eu de bons rapports avec le voisin argentin. L’expérience chilienne de Marcelo Bielsa pourrait peser dans la balance si des discusssions s’engagent entre les deux parties.
EL AVISO DE OLÉ : «Dans la rédaction on y croit, Aimar est fan du Bielsisme et le voir débuter au Chili ferait sens. Toutefois vu son aura, nous continuons de penser qu’il se dirige plus vers l’Europe ou l’Argentine. Mais le fait que l’Universidad confirme des discussions dont inévitablement du crédit à la piste.»
Velez c’est un peu le style de club comme Rosario mais avec plus de palmarès niveau national et surtout avec une Libertadores lorsque Chilavert gardait les cages dans les années 90. Souvent dans le ventre mou le clubs est bien remonté ces dernières saisons sous l’impulsion d’El Gringo Gabriel Heinze. Seulement Heinze a choisit de quitter le club après deux saisons fructueuses dont la dernière ponctué sur le podium du championnat. L’argentin compte rejoindre l’Europe. L’arrivée de Aimar ferait sens mais les candidats sont nombreux.
EL AVISO DE OLÉ : «C’est aussi une destination envisageable pour Aimar et Ayala. Velez est un très bon club, qui forme beaucoup ce qui pourrait correspondre à la philosophie du duo qu’on a déjà vu avec les jeunes de l’Albiceleste. Mais les candidats sont nombreux, pas sûr que Velez donne sa chance à un entraineur débutant avec les nombreux challenges qui attendent le club.»
Palmeiras à une grande tradition italienne, et les origines d’Aimar seront un plus. Toutefois le club est dans une situation sportive délicate. Pas capable de jouer le titre régional comme national, il est en outre sur le point de perdre sa perle locale Gabriel Veron. En difficulté aussi sur le terrain, le club a l’avantage de ne pas avoir d’entraineur en poste et de réfléchir qui nommer. Toutefois Abel Ferreira, le portugais fait office de favori depuis qu’il a été vu dans les locaux du club.
EL AVISO DE OLÉ : «On y croit pas du tout dans la rédaction. Le futur coach de Palmeiras est à 90% Ferreira. Si on sait de source sûr que le dossier Aimar a été étudié il semble peu probable qu’il se concrétise…»
Quand Marcelo Bielsa parle, on l’écoute, encore plus dans son club à Newells. Alors quand l’entraineur de Leeds a déclaré que Aimar fera un excellent coach et que Newells s’est séparé du sien, tout s’imbriqua. Le club argentin serait déjà en contact avec l’ancien international. En débarquant à Newells la pression serait limité. Mais Newells fait partie du club des cinq et nommé une ancienne gloire de River est risqué.
EL AVISO DE OLÉ : «Marcelo Bielsa est une légende en Argentine, et à Newell’s. Quand il parle tout le monde écoute. Si le loco ne tarie pas d’éloges sur le milieu argentin, il n’est pas dit que la direction soit prête à nommé un duo d’anciennes gloires de River Plate ! On y croit mais on veut en savoir plus.»
Le Peñarol c’est le plus grand club uruguayen. Après avoir nommé Diego Forlan avec un succès tout relatif, le club uruguayen a décidé de changer d’un commun accord avec son éphémère coach. Pablo Aimar est une légende en Amérique du Sud. Commencer sa carrière en club avec le plus gros club uruguayen pourrait faire sens. Mais le départ de Pellistri, meilleur joueur du club n’envois pas le bon signal.
EL AVISO DE OLÉ : «Peñarol est dans une phase de restructuration. On y croit pas trop, Pellistri est parti à Manchester, Gargano est vieux et Forlan viens de se rater. Peñarol est il prêt à retenter le coup avec un entraineur débutant ? Pas sûr. La candidature d’un Aimar aurait fait sens il y a un an mais plus maintenant.»
Red Bull apprends de ses diverses expériences dans le football, sachant la popularité du football au Brésil, le groupe mondial a choisit de démarrer bas comme tout le monde avant de fusionner avec un club en difficulté permettant de ne pas tuer son image immédiatement comme en Autriche ou en Allemagne. Friand de jeunes talents, le club regarde aussi les jeunes entraineurs prometteurs et Pablo Aimar entre dans cette case. Il se dit que le club verrait d’un bon oeil l’arrivée de l’ex-international argentin et se serait même positionné officiellement en invitant le coach et son adjoint en Allemagne pour leur présenter la galaxie Red Bull.
EL AVISO DE OLÉ : «C’est une possibilité qu’il ne faut pas occulter, le projet est là et les ressources du groupe Red Bull sont sans limites. Faire venir Aimar c’est s’assurer l’appui local et un oeil avisé sur les jeunes talents du continent. Aimar a t’il envie d’entrainer au Brésil ? On serait tenté de répondre par l’affirmative le coach ayant la réputation joueur de ne refuser aucun défi…»
Quel club va rejoindre Pablo Aimar ?
Envigado
Rosario Central
Universidad Chile- Velez Sarsfield
SE Palmeiras- Newell’s Old Boys
Peñarol- Red Bull Bragantino
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