:storygreen: :s2: 🇲🇽 :atletico_san_luis: :club_america: El Club Mexicano

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APERTURA 2024 : LIGUILLA – FINAL

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Dernières nouvelles

Pas grand-chose de nouveau, si ce n’est que la grippe d’Andrés Iniestra va mieux, mais pas assez pour revenir dans le groupe à temps.

Atlético San Luis – Deportivo Toluca

Il faut gagner : on joue en 4231, avec l’initiative du jeu.

Nous réalisons la première période idéale : deux buts pour nous placer aux commandes ! Tout avait bien débuté, avec une double occasion de Boli qui donne le ton (poteau puis arrêt du gardien). Sur le premier but, Boli se mue en passeur, Antuna conclut ; sur le second juste avant la mi-temps, c’est ce diable de Fernandez qui s’infiltre pour battre Tiago Volpi, le gardien brésilien de Toluca. Tout va bien à mi-course !

Au repos, notre capitaine Güemez, fatigué et averti, est remplacé par Jonathan Gonzalez.

La seconde période est du même acabit. Sanabria passe proche de nous mettre à l’abri à la 56e, mais son coup-franc frappe le montant. Malgré tout, c’est Toluca qui va revenir, à la suite d’une faute inutile de Pizarro dans le rectangle : à la 81e, c’est 2-1. Pizarro a eu l’occasion de se rattraper dans les arrêts de jeu mais il rate le coche.

Direction les prolongations !

Il ne se passe rien pendant les prolongations. Fatigue, stress… Si bien que je pense déjà aux tirs au but. Puis, tout à coup, venu de nulle part, à la 118e, Jonathan Gonzalez avance balle au pied et canonne à distance, et trompe Volpi !!!

L’ATLÉTICO SAN LUIS REMPORTE LE PREMIER TITRE MAJEUR DE SON HISTOIRE !!!

La solution est venue du pied d’un remplaçant occasionnel là où les vedettes (Pizarro, Sanabria et Torres) ont été peu à leur affaire !

Les statistiques des joueurs

Appréciation personnelle des joueurs

Koen Casteels : Il a eu un peu du mal au début mais est monté en puissance au fur et à mesure qu’il s’est intégré, et qu’il a maîtrisé l’espagnol. Excellent lors des Playoffs.

Franck Boli : Il ne sait faire qu’une chose : marquer des buts. Il le fait bien cela dit. Une seule passe décisive, mais en finale, il faut le souligner.

Juan Manuel Sanabria : Des périodes fastes et des creux, peut-être est-ce dû à son manque de détermination. Un pion important mais sans doute plus efficace comme milieu central offensif que comme latéral gauche.

Rodolfo Pizarro : Gros transfert et plus gros salaire du club, capable à l’occasion de prestations époustouflantes, certes trop rares. Un transfert vraiment moyen.

Uriel Antuna : Autre gros transfert un peu décevant mais moins que Pizarro. Il a quand même bien contribué à l’excellente première partie de saison du club.

Javier Güemez : Notre valeureux capitaine. Bon et constant dans le rôle ingrat de récupérateur.

Unai Bilbao : Le boss derrière. Son absence lors de la dernière ligne droite a finalement été bien gérée. Bon mais pas incontournable disons, surtout pour un PNP.

Andrés Iniestra : Meneur de jeu devant la défense, il a aussi été bon et constant, à défaut d’être décisif.

Julio César Domínguez : Ce vétéran de 36 ans a été surclassé en cours d’Apertura par le jeune Águila. Il a dû revenir pour pallier l’absence de Bilbao lors des derniers matchs des Playoffs, avec succès. Il reste très bon mais jusques à quand ?

Ricardo Chavez : Trop discret en saison mais excellent lors des Playoffs. Un des cadres de l’équipe.

Fidel Ambríz : Jeune et doué, et Mexicain de surcroît. Une très bonne recrue, qui n’est que prêtée malheureusement, et trop chère pour espérer le faire signer. On va parfaire sa formation puis il nous quittera sans doute.

Fabrizio Angileri : Excellent latéral gauche offensif. Il a un peu souffert de sa concurrence avec Sanabria à son poste en 4231, alors qu’il a mieux joué dans ce rôle au final. Le club de Getafe refuse qu’on prolonge le prêt, il va donc nous quitter, malheureusement.

Eduardo Águila : Revenu au club après le départ de Wieteska, il a ravi la place de titulaire à Dominguez. Un jeune du club qui s’installe en équipe première.

Josecarlos Van Rankin : Moins agréable à l’œil que sa sœur Mariana mais très utile dans la rotation. Un bon lieutenant pour Chavez.

Jairo Torres : Il a été gêné par une blessure mais s’est imposé avant et après comme un joueur déroutant et précieux. Dommage qu’il n’ait pas une condition physique à la hauteur, ce qui le cantonne souvent dans le rôle de joker.

Julián Fernández : Très mauvais au début, je l’ai écarté quelques semaines du groupe, le plaçant même sur la liste des prêts. Il est finalement revenu dans le groupe et a alors laissé éclater son talent. Un jeune joueur qui promet ! Et comme par hasard, maintenant, des clubs le pistent pour l’obtenir en prêt. Trop tard pour eux !

Mateo Klimowicz : L’équipe s’est renforcée et il a perdu du temps de jeu. Il devient un peu juste pour une équipe qui joue les première rôle en Liga MX.

Jahkeele Marshall-Rutty : Le Canadien a fait de belles sorties en début de demi-saison puis est rentré dans le rang. Encore un peu jeune, un prêt lui serait profitable.

Jonathan González : le héros de la finale ! Un solide milieu, puissant et déterminé, qui mérite plus de temps de jeu qu’il n’a eu lors de l’Apertura.

José de Jesús González : J’espérais qu’il ferait de l’ombre à Boli, il n’en fut rien. Il n’a jamais montré quoi que ce soit et a vite perdu ma confiance.

Apertura 2024 : le mot du coach

Il a fallu travailler dur pour trouver un équilibre dans cette équipe, mais nous y sommes parvenus. L’effectif ne comporte pas de vraies vedettes (Antuna n’est pas meilleur que les autres et Pizarro a déçu), hormis peut-être Casteels, ce qui ne nous a pas empêché de remporter le titre. Le collectif, l’équilibre, j’ai toujours privilégié cela plutôt que des noms ronflants.

Quid du futur ? Il se dit que l’entraîneur de l’Atlético San Luis serait en pourparlers avec une grosse cylindrée de la Liga MX. Les gros clubs qui ont déçu ne manquent pas… L’avenir de Mark Beaubien devrait donc toujours être au Mexique, mais plus à San Luis Potosi…

Avez-vous une idée ? Une envie ?

• Club América
• Cruz Azul
• CF Monterrey
• Pumas de la UNAM
• Tigres UANL

On en reparle la semaine prochaine !

Bon weekend les amis !

[toopil]

Félicitations pour ce titre

[Mark]

Merci ! Gagné de haute lutte ! J’ai profité du manque de profondeur de mes adversaires à mon avis.

[Mark]

Trois réponses sur cinq possibles ont été plébiscitées lors du sondage, et la bonne a été sélectionnée… Tigres, Club América ou Pumas ? L’avenir (proche) le dira. Tout changement de club engendre des ajustements, une prise en main, ce qui requiert du temps. La suite de l’aventure mexicaine devrait suivre d’ici la fin de la semaine…

[Mark]

LIGA MX : TRÊVE HIVERNALE

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Ce n’est plus qu’un secret de polichinelle, le coach vainqueur de la Apertura 2024 quittera l’Atlético San Luis pour une grosse cylindrée de la Liga MX. Inutile de tergiverser plus avant…

Mark Beaubien a signé un contrat de trois années avec…

Cliquer pour découvrir le nouveau défi

[celiavalencia]

gagné !

Amuse toi bien dans ce club !

[Mark]

On voit ceux qui suivent et ceux qui baillent dans le fond de la classe…

[WarsawBucher]

Pas fan de l’America perso, mais ce n’est pas ma partie après tout

[Mark]

LIGA MX : TRÊVE HIVERNALE

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Club América

Rien de moins que le club le plus titré de la CONCACAF avec 7 titres continentaux et 14 titres en Liga, auxquels s’ajoutent 7 Coupes du Mexique (compétition qui a disparu aujourd’hui, remplacée par la Leagues Cup).

Le défi est grand, à la hauteur des attentes des dirigeants et des partisans, car le Club sort d’une année 2024 plutôt faible : élimination lors du tour préliminaire en Clausura 2024 et éliminé en quarts de finale (par San Luis!) en Apertura 2024. Ce ne fut guère mieux en Leagues Cup 2024 avec une élimination prématurée, dès les quarts de finale de l’Est, par le FC Charlotte. Léger mieux en Champions League 2024 avec une demi-finale perdue face à Santos Lagune, aux tirs au but. En un mot, c’est peu, trop peu, pas surprenant que l’entraîneur ait été remercié… Il va falloir faire mieux, et vite !

Compétitions

Petit rappel des compétitions nord-américaines pour un club mexicain : les saisons de Liga s’étendent de juillet à juin de chaque année. Pas de véritable trêve en été, les joueurs peuvent plutôt prendre des vacances en hiver. Mais y a-t-il réellement un hiver au Mexique ?

Prenons comme exemple l’année 2024-2025 :

– De juillet 2024 à novembre 2024, on a joué l’Apertura 2024, première partie de la saison 2024/25.
– Août 2024, il y a eu une trêve en Liga pour jouer la Leagues Cup 2024, une coupe qui regroupe les équipes de la MLS et de la Liga MX.
– Septembre 2024 : Supercoupe du Mexique (vainqueur Clausura 2023 contre vainqueur Apertura 2024). Le vainqueur a joué la Campeones Cup contre le vainqueur de la MLS Cup 2023.
– De janvier à juin 2025, nous allons jouer la Clausura 2025, deuxième partie de la saison 2024/25.
– De février à avril 2025, nous aurons en plus de la Liga la NACC (North American Champions Cup) qui regroupent cette fois des équipes de tout le continent nord-américain, du Panama au Canada.

Pour les équipes qui réalisent de gros parcours, les matchs peuvent très vite s’accumuler : minimum 34 en Liga avec un maximum de 16 en Liguilla ; la Leagues Cup comprend entre 2 et 7 matchs ; la NACC entre 2 et 9 matchs. Pour une équipe comme Club América, cela peut facilement approcher le 60 matchs officiels par saison. On se demande pourquoi les trêves sont courtes et que les rencontres amicales sont inutiles…

North American Champions Cup 2024

Leagues Cup 2024

Campeones Cup 2024

Stade et infrastructures

Le club est réputé pour ses infrastructures de haut niveau, et son stade de 81 000 places : L’Azteca !

L’Azteca est un stade qui a connu deux finales de Coupe du Monde historiques : la victoire du Brésil de Pelé en 1970 et de l’Argentine de Maradona en 1986.

Les infrastructures sont excellentes, sans surprise.

Infos diverses

Quelques autres points, avant de commencer la présentation du plus important : l’effectif !

Le Club a un partenariat avec le Sporting Gijon, en Espagne. Ce partenariat risque de nous faire plus de mal que de bien, puisque le but semble être d’envoyer en Espagne les meilleurs espoirs mexicains. Tout bon pour la formation, mais pas certain que ce soit bon pour le club mexicain par contre…

Il y a beaucoup de rivalités au Mexique. Les supporters ont une liste d’attentes assez longue… Les dirigeants veulent la finale de la Champions Cup, les supporters la finale de la Clausura… On est loin de San Luis où bien figurer suffisait…

Petit coup d’œil sur les maillots, toujours beaux mais un peu trop chargés de pubs au Mexique.

Le budget est conséquent, avec M$820M de budget transfert et M$450M de budget salarial. Soit, pour les plus paresseux d’entre vous, €45,1M et €24,75M.

Bon, le décor est planté, on va pouvoir passer à la présentation des effectifs…

[Mark]

@WarsawBucher Au Mexique, j’ai toujours eu un faible pour Cruz Azul, le club de coeur de mon amie d’école Wendy qui vit à Mexico depuis 25 ans. Mais Cruz Azul n’a pas viré son coach malgré une bien piètre année également. Plus tard peut-être…

Sinon, mon but est de rejoindre le CF Monterrey, rien que pour ça :

Estadio BBVA

[WarsawBucher]

C’est pour le Chivas Guadalajara que j’ai un faible au Méxique, à titre personnel

[Mark]

LIGA MX : CLAUSURA 2025 - L’EFFECTIF

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Présentation

À mon arrivée, le Onze était assez jeune et avait bien de l’allure, tellement que mon Onze de début de saison ne comporte aucun nouveau visage. De plus, la plupart des joueurs sont au club depuis plusieurs années, j’aime cette stabilité. C’est à se demander comment mon prédécesseur a bien pu tirer si peu d’un tel effectif…

Le vrai problème des Águilas, c’est la profondeur, surtout avec un championnat aussi exigeant. Il a donc fallu revoir la seconde ligne essentiellement, et voir à mexicaniser davantage l’effectif, trop axé sur des joueurs PNP.

La direction veut que je recrute des joueurs connus… Ce n’est guère ma méthode ça, sans oublier que nous sommes au Mexique, pas en MLS. Les grosses vedettes apprécient les USA et ses salaires parfois exorbitants au contraire du dangereux Mexique avec ses salaires assez limités. Sans doute parlent-ils de quelque joueur mexicain à rapatrier d’Europe, ce qui reste du domaine du possible.

Les départs

À mon arrivée, deux joueurs PNP arrivaient en fin de contrat. Il s’agissait de l’Espagnol Jorge Meré et du Néerlandais Javairo Dilrosun, prêté quant à lui. Aucun ne fut prolongé. Un troisième nous a également quitté, même si Mexicain : le vétéran, fatigué, Jonathan dos Santos.

Trois autres joueurs, tous PNP, ne m’ont pas impressionné. Deux ont quitté le club assez rapidement, le troisième devrait suivre le même chemin sous peu.

Un bon ménage l’air de rien, et 5 PNP de moins que je vais pouvoir remplacer avantageusement.

Le premier à quitter le club est l’ailier uruguayen Brian Rodriguez qui rejoint le Xolos Tijuana pour 18 mois, en prêt. Vu son âge (24 ans), un prêt à long terme me paraît raisonnable, au cas où il progresserait en fou.

Le second est parti pour de bon : l’ailier colombien Juan Otero trouve un bon transfert vers l’Europe, en Espagne, contre une somme de M$50M.

Le troisième est toujours au club lors du début de Clausura, mais plusieurs clubs de MLS sont sur son cas. Ce n’est qu’une question de temps pour Jonathan Rodriguez, un autre ailier uruguayen.

Le Onze pressenti

Le club tient un bon gardien mexicain, Luis Malagón, apparu à 8 reprises avec El Tri. Seul point faible : sa taille, 1m82. C’est petit pour un gardien, même s’il reste bien plus grand que le grand Jorge Campos, le gardien du Mexique dans les années 90.

Solide défenseur à droite, Kevin Álvarez, international lui aussi avec 26 sélections. Encore jeune et sans gros défaut selon mon staff. Le genre de joueur qu’il sera peut-être ardu de conserver.

Une vedette à gauche : Jesús Gallardo, 103 sélections. Il est arrivé de Monterrey il y a peu.

Dans la charnière centrale, deux joueurs assez similaires : le Mexicain Israel Reyes et l’Uruguayen Sabastián Cáceres. Tous deux sont jeunes et internationaux. Il y a vraiment de la jeunesse dans cette équipe d’ailleurs, ce qui n’est pas pour me déplaire.

Devant la défense, selon mes habitudes, j’aime aligner un meneur de jeu en retrait. Ce rôle sera dévolu au Paraguayen Richard Sánchez, un autre international qui comptre plus de 50 sélections pour son pays.

Un peu comme Salles-Lamonge à San Luis, le Club América a aussi son ovni : le récupérateur anglais Sean Longstaff. Recruté il y a une demi-saison de Newcastle, on peut dire que c’est un coup fumant de notre directeur sportif, comme la venue de Gallardo de Monterrey. L’Anglais est solide et costaud, une denrée rare dans le Football mexicain.

Enfin, le milieu central à vocation offensive, le Chilien Diego Valdés. Au club depuis 2021, 30 buts en 90 rencontres, 37 sélections, un autre joueur de haut niveau.

Sur le flanc droit, un joueur que je connais : l’international américain Alejandro Zendejas. C’est un peu lui qui m’a convaincu de tenter ma chance avec les Azulcremas. Fait particulier : il joue pour les USA mais est considéré comme « Né au Pays ». Un joueur qui m’a beaucoup plu avec Team USA.

Le joueur à gauche, quant à lui, joue pour le Mexique mais est considéré comme « Pas Né au Pays ». Allez comprendre… Qu’importe, Julián Quiñonez est un excellent attaquant intérieur pour la Liga.

Enfin, en pointe, le joueur le plus âgé du Onze : Henry Martin. Comme son nom ne l’indique pas, il est mexicain et international, au club depuis 2017.

Le mot du coach

Je n’ai pas dû faire d’efforts pour renforcer la première ligne tant elle était solide à mon arrivée. Et encore, l’Uruguayen Jonathan Rodriguez aurait pu prétendre à une place s’il n’avait clairement exposé son intention de nous quitter à la fin de son contrat, nous forçant un peu la main pour le vendre.

J’apprécie beaucoup l’effectif, bien balancé, avec de nombreux Mexicains et plutôt jeune. Malgré tout, tous les joueurs du Onze sont internationaux, sauf l’Anglais Longstaff. Au total, 314 sélections, soit une moyenne de 28.5 sélections par joueur, pour une moyenne d’âge de 27,3 ans.

Le banc

Mon boulot s’est finalement limité à composer une équipe de 11 lieutenants pour assurer la rotation.

Le club veut des gros noms ? J’en ai trouvé un, un ancien du club adulé par les partisans : Guillermo Ochoa ! Il a 39 ans et ne peut plus jouer les premiers rôles, mais comme doublure il sera parfait. J’ai l’impression de voir sa chevelure dans ma TV depuis toujours…

Quand j’aime, j’aime. De peur de voir la truculente Mariana s’éloigner, j’ai recruté son frère Josecarlos Van Rankin en provenance de San Luis. Mon successeur a décidé de le lister, il me manquait une doublure à droite, et Mariana est ouf. Je ne pouvais passer à côté, surtout pour la somme dérisoire de M$4,5M.

Oups je me suis trompé de dossier !

Au poste de back gauche, Cristian Calderón, recruté de l’ennemi juré, le Deportivo Guadalajara. Il n’y a pas à dire, il y a eu quelques transferts osés en Liga depuis mon arrivée

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Au centre, en couverture, un ancien de San Luis arrivé dans la capitale en 2016 : Ramón Juárez. Comme beaucoup de défenseurs centraux, il manque de puissance et de taille. Il fera cependant l’affaire.

De la puissance, je suis allé la chercher à l’étranger, en Allemagne. Nous accueillons le Croate Hrvoje Smolcic en prêt pour 18 mois, avec option d’achat de M$100M. J’ai toujours eu un faible pour les joueurs croates. De plus, ils s’intègrent bien en général. Même s’il n’est pas très grand, il devrait quand même faire la loi dans le jeu aérien au Mexique.

Mazatlan a fait une bonne Apertura, cela ne m’a pas échappé. Parmi les artisans de cette belle demi-saison se trouve Joaquín Esquivel, qui n’est pas listé mais qui a une clause libératoire dans son contrat. Je lève la clause de M$72,5M et le fait venir au club. Il est Mexicain, polyvalent et de bon niveau.

Un joueur du club sera la doublure de Lonstaff : Santiago Naveda.

Le meneur de jeu réserve est un nouveau venu, Omar Govea. Listé pour une croûte de pain par Monterrey (M$5,75M), je n’ai pas hésité trop longtemps à l’ajouter à mon effectif. Ce fut un jour un tout grand espoir, peut-être parti trop tôt vers l’Europe. À maintenant 28 ans, pourra-t-il percer pour de vrai chez nous ?

Les dirigeants veulent des recrues réputées alors que moi je préfère partir à la chasse aux pépites. Et une pépite, je crois bien qu’en voici une : Tomas Suslov. Il a fallu délier les cordons de la bourse puisqu’il a fallu allonger M$200M pour arracher l’international slovaque au Hellas Verone. L’avantage est que le joueur n’a pas réclamé de clause libératoire. S’il ne s’intègre pas, on le vendra.

Une autre arrivée sur le flanc gauche, une tête connue : Jairo Torres. Comme Van Rankin, Torres a été listé par mon successeur. Il a fallu sortir M$28M quand même, mais je sais de quoi il est capable, surtout dans un rôle de joker.

Enfin, en pointe, sans doute la plus réputée de nos recrues, hormis papy Ochoa : le Brésilien Roberto Firmino, qui était en fin de contrat avec Al Ahli (KSA). Avec ses 55 sélections en Seleçao et ses 8 années passées à Liverpool, on peut dire que c’est une recrue de poids, malgré ses 33 ans. Et vu ses qualités physiques, il est loin d’avoir entamé son dernier tour de piste.

Le mot du coach

Pour le recrutement, je n’ai pas débauché de joueur mexicain et/ou appartenant à un club mexicain. Seuls les joueurs listés, avec une clause libératoire ou en fin de contrat ont été approchés. Je me refuse à déforcer les autres équipes avec des offres hostiles de club riche. Par contre, à l’étranger, pas vraiment de règles, si ce n’est que je désire rapatrier un maximum de Mexicains au pays… mais les cracks sont hors de prix et les autres ne valent pas mieux que les miens…

J’estime avoir une belle deuxième ligne, et le fait d’avoir conservé l’ossature en place sur le terrain, cela devrait aider les nouveaux à prendre leurs marques sans trop de pression immédiate.

Les autres

J’ai inscrit tout le monde, soit les 38 joueurs à ma disposition. Les nouvelles pousses vont bientôt arriver, espérons que nous aurons de la qualité.

Voici donc les 16 autres joueurs inscrits.

Tout d’abord, sans doute le meilleur d’entre eux, arrivé à la toute dernière minute et pas encore inclus dans les 22 ci-dessus : Roberto Lopez. Listé pour une croûte de pain par la Real Sociedad (M$3,75M), je n’ai pas hésité trop longtemps à ajouter le meneur de jeu à mon effectif. Le NYCFC était aussi sur le coup, il a préféré Mexico City à New York City. Créatif et bon tireur de phases arrêtées, mais le prix très bas m’inquiète un peu.

Et aussi notre troisième gardien, l’expérimenté Óscar Jiménez.

Enfin, les jeunes, par ordre alphabétique :

Résumé

Il y a 9 PNP, soit le maximum :

– Sebastián Cáceres (URU)
– Richard Sánchez (PAR)
– Sean Longstaff (ENG)
– Diego Valdés (CHI)
– Julián Quiñonez (COL/MEX)
– Hrvoje Smolcic (CRO)
– Tomas Suslov (SVK)
– Roberto Firmino (BRA)
– Roberto López (ESP)

[Mark]

La début de la Clausura 2025 la semaine prochane.

En attendant, avez-vous des commentaires concernant cette story ?

Le format un post/un match plaît-il toujours ? Je pourrais le changer car c’est compliqué de poster chaque jour ou presque.

Est-ce que ça manque de digressions, genre jeune femme dénudées, sbires à la solde d’une puissance de l’Est, dictateur mégalomane aux commandes ?

Allez-y avec vos commentaires, par rapport à mes anciennes storys.

Bon weekend les poteaux !

[toopil]

@Mark

sbires à la solde d’une puissance de l’Est, dictateur mégalomane aux commandes ?

ça manque de drogue pour une story au Mexique

Sinon, bon courage dans ce club et ce nouveau challenge!

[WarsawBucher]

Fait comme cela te convient avant tout

Je dis pas non aux disgressions, un peu d’histoire pour broder autour comme tu l’a fais ailleurs, c’est très sympa, mais faut surtout que tu en ai l’envie

Puis les dames trop pauvres pour s’acheter de quoi se vetir, Instagram n’en manque pas, j’ai ma dose pour plusieurs vies

[VertPourToujours]

@Mark

Est-ce que ça manque de digressions, genre jeune femme dénudées, sbires à la solde d’une puissance de l’Est, dictateur mégalomane aux commandes ?

Oui une histoire avec une belle dame mettrait du fun. Et peut-être une petite tentative de corruption pour essayer de gagner plus facilement. De ton club ou de l’extérieur…