Bonjour à tous,
Nous connaissons encore une fois un très bon début de saison, meilleur même que les éditions précédentes. Et pour cause, nous avons réussi à creuser un bon écart avec nos rivaux de toujours, Liverpool. Voyons maintenant ce que cela donne en 2037.
| Date | Lieu | Adversaire | Score | Buteurs |
|---|---|---|---|---|
| 01/01/2037 | D | Sheffield United | 2-0 | Cowan(19), Geller(46) |
| 10/01/2037 | E | Norwich | 1-4 | Fernandez(40, 49, 80), Haaland(74) |
| 17/01/2037 | E | Manchester United | 0-1 | McDonald(37) |
| 20/01/2037 | D | Stoke | 4-0 | Flanagan(17), Pearson(51, 69), Haaland(78) |
| 31/01/2037 | D | Arsenal | 3-1 | Geller(30), Ferder(68), Pearson(62) |
| 07/02/2037 | E | Manchester City | 1-3 | Pearson(Pen53), Flanagan(78), Haaland(85) |
| 20/02/2037 | D | Luton | 2-0 | McDonald(13), Pearson(81) |
| 07/03/2037 | D | Sunderland | 5-0 | Geller(30), Cowan(47, 63, 68), Cole(75) |
| 11/03/2037 | E | Tottenham | 1-2 | Flanagan(41), Cowan(88) |
| 14/03/2037 | E | Brighton | 1-1 | McDonald(14) |
| 04/04/2037 | E | West Ham | 1-1 | Williams(27) |
| 11/04/2037 | D | Leicester | 4-0 | Pearson(8), McDonald(44), McBride(81), Noh(89) |
| 18/04/2037 | E | Bournemouth | 1-3 | Haaland(77, 79, 84) |
| 25/04/2037 | D | Aston Villa | 4-1 | McDonald(11, 25, Pen 52, 80) |
| 02/05/2037 | E | Liverpool | 0-0 | |
| 09/05/2037 | D | Crystal Palace | 5-1 | Pearson(6, 23, 42, 57), Flanagan(80) |
| 12/05/2037 | D | Chelsea | 1-0 | Cowan(27) |
| 17/05/2037 | E | Southampton | 0-5 | Lynch(54, 81), Cowan(65, Pen 72, 79) |
Nous débutons l’année par une série de 9 victoires consécutives, avec quelques adversaires importants comme Manchester United, Luton pour le derby ou encore Tottenham. L’équipe tourne bien malgré l’irrégularité chronique de Peter McDonald qui enchaine littéralement un bon match suivi d’un match au mieux moyen.
C’est à la mi-mars que nous connaissons une première contre-performance avec un nul plutôt poussif sur la pelouse de Brighton. Nous enchainons avec une seconde contre-performance contre une séduisante équipe de West Ham. C’est mon ancien joueur Will Hughes qui en est le boss. Autant dire qu’il faut du bon travail.
Notre retour en forme coïncide avec le retour de blessure de notre capitaine, Billy Pearson, pour une victoire autoritaire face à un Leicester en difficulté. Nous enchainons ensuite avec deux bons matchs avant de nous déplacer à Anfield pour le premier match du mois de mai.
Face à l’équipe de Klopp, nous ne parvenons pas à exister et ce résultat est littéralement un hold-up. Clairement, ce n’est pas le même Liverpool qu’en début de saison. Malgré l’absence de mouvement au mercato hivernal, l’équipe plutôt pataude a laissé place à une team hargneuse et sûre de sa force.
Pas question de rester sur cette prestation. Nous reprenons notre bon rythme de croisière en terminant la saison par trois succès autoritaires, dont un face à Chelsea.
Est-ce vraiment surprise de voir Watford encore une fois champion d’Angleterre ? Au regard de nos résultats, pas du tout. Nous terminons donc premier, bien loin devant notre dauphin habituel, Liverpool. La troisième marche du podium étant occupé par l’autre club de la ville de Liverpool, à savoir Everton. Belle performance pour un club ambitieux.
Point important à relever, notre ennemi juré, Luton, retourne en Championship. Leur saison cataclysmique est une véritable surprise tant le club avait su ces dernières saisons construire un onze cohérent et assez bon pour disputer l’Europe.
Cette saison, nous présentons la meilleure attaque et meilleure défense du royaume. Et de loin ! Nous sommes littéralement intraitables peu importe la surface, et c’est un vrai plaisir pour moi de voir mes hommes évoluer à ce niveau-ci sur la pelouse.
Billy Pearson est au sommet de son art ! L’international anglais, meilleur buteur de l’histoire des Three Lions, termine cet exercice en position de meilleur buteur et passeur de Premier League. Magnifique performance de sa part.
Cela est en plus exacerbé par les 4e et 5e positions au classement des meilleurs buteurs pour McDonald et Flanagan.
| Date | Phase | Lieu | Adversaire | Score | Buteurs |
|---|---|---|---|---|---|
| 05/01/2037 | 3e tour | E | Lincoln | 1-5 | Cole(12, 16), Lynch(50), Fernandez(52), Haaland(80) |
| 24/01/2037 | 4e tour | D | Reading | 0-0 | |
| 03/02/2037 | 4e tour | E | Reading | 1-2 | Fernandez(70), Woods(73) |
| 03/03/2037 | 5e tour | D | Newcastle | 2-0 | Cole(60), Haaland(87) |
| 22/03/2037 | 1/4 | D | Everton | 1-3 | Cole(83) |
Petit fait amusant, c’est face à notre ancien club affilié, Lincoln, que nous lançons notre campagne en FA Cup. A noter que nous avions déjà affronté cette équipe cette saison, lors de la Carabao Cup. Bon, sans surprise, nous l’emportons assez facilement malgré l’équipe largement remanié, ce qui nous qualifie pour le tour suivant.
Reading qui devrait représenter la proie parfaite se révèle en fait être un adversaire acharné. Ils nous tiennent en échec devant notre public, ce qui nous oblige à rejouer le match, chez eux cette fois-ci. Comme si le calendrier n’était pas déjà suffisamment lourd…
Malgré une entame de match compliqué avec une expulsion et un penalty pour Reading dans les quinze premières minutes de jeu, nous reprenons le dessus en seconde période grâce à un Juan Fernandez de gala. L’espagnol inscrit un but et offre une assist assez belle, un centre piqué en retrait pour Woods, afin de nous offrir la victoire.
Un mois plus tard, nous retrouvons Newcastle au 5e tour. Nous nous débarrassons sans trop de difficultés de nos adversaires, ce qui nous permet de nous qualifier pour le quart de finale, y retrouver une équipe en forme, Everton.
Dans une rencontre survoltée, nous encaissons deux buts coup sur coup juste avant la fin de la première période. Le moral est au plus bas lorsque nous revenons sur la pelouse, surtout que nous ne revenons pas avec les meilleures intentions possibles. Ross Geller se fait exclure pour un second carton jaune pour geste d’humeur et nous encaissons un troisième but à l’heure de jeu. La réduction du score de Cole sera vaine. Nous sortons de la compétition la tête basse après plusieurs victoires consécutives.
| Date | Phase | Lieu | Adversaire | Score | Buteurs |
|---|---|---|---|---|---|
| 24/02/2037 | 1/8 aller | E | Valence CF | 1-3 | Flanagan(18), Cowan(35), Noh(80) |
| 18/03/2037 | 1/8 retour | D | Valence CF | 1-1 | Pearson(18) |
| 08/04/2037 | 1/4 aller | D | OL | 1-0 | Flanagan(37) |
| 14/04/2037 | 1/4 retour | E | OL | 0-3 | Fernandez(21), Lynch(70, 78) |
| 29/04/2037 | 1/2 aller | E | Manchester United | 1-1 | Flanagan(27) |
| 05/05/2037 | 1/2 retour | D | Manchester United | 2-0 | McDonald(6), Pearson(50) |
Notre printemps européen débute par une double confrontation face à Valence. Si cette équipe avait fortement progressé sur le plan européen il y a une dizaine d’année de cela, elle fait aujourd’hui pâle figure. Après un premier match maitrisé où nous l’emportons à domicile, nous nous contentons d’un nul au match retour. Autant se préserver pour la suite.
Parce que la suite est plus costaude. Elle s’appelle Olympique Lyonnais. Nous l’emportons sur la plus petite des marges à domicile avant de sèchement les battre sur leurs terres. Il faut dire qu’ils n’ont pas été aidé par l’expulsion de leur avant centre et la blessure d’un de leur défenseur central.
Aux portes de la finale, c’est un ennemi bien connu que nous retrouvons, à savoir Manchester United. Les mancuniens ne nous font aucun cadeaux et sans un grand Flanagan, jamais nous ne repartons d’Old Trafford avec le nul. Tout se joue devant nos supporters. Porté par les encouragements des nôtres, nous l’emportons, grâce à un but rapide de McDonald et un somptueux numéro solo de Billy Pearson.
Trois ans après la dernière, nous nous retrouvons en finale, avec face à nous une redoutable équipe, ayant connu un début de saison plus poussif avant une seconde partie en mode boulet de canon.
Istanbul réussit si bien à Liverpool…
La finale de Ligue des champions débute sur les chapeaux de roues. Nous dominons assez bien, nous procurant plusieurs grosses occasions qui auraient fini au fond sans un Alan Moore de gala. Finalement, c’est après la demi-heure de jeu que nous ouvrons le score. Grâce à un beau travail de Josh Flanagan avec qu’il permute, Pearson ouvre le score d’une frappe puissante. But qui après coup est attribué au latéral droit des Reds et ancien de la maison, Richard Weaver qui perturbe la trajectoire de la frappe et trompe son propre gardien.
La confiance est alors de notre côté. Nous multiplions les offensives, sans parvenir à concrétiser quelque chose. En seconde période, Liverpool qui faisait le dos rond jusque-là commence à se réveiller et à nous reprendre l’ascendant.
A la 76e, l’argentin Barrios trompe notre arrière garde et crucifie Jim Douglas qui sur le coup, ne peut rien faire. 1-1, tout est à refaire.
Ragaillardi, les hommes de Klopp repartent de plus belle à l’offensive et nous mettent la pression. Mais nous ne craquons pas, du moins pas dans le temps règlementaire. Car c’est en prolongation, lorsque nous sommes tous physiquement cramés que le milieu offensif anglais, Ian Brown, inscrit le but de la victoire d’une retournée acrobatique du plus bel effet. Nous n’arriverons jamais à reprendre quelque chose à ces hommes.
C’est la tête basse que nous quittons Istanbul. Nous aurions voulu faire mieux, nous aurions peut être pu faire mieux. Mais il faut bien se l’avouer, les Reds ont été les plus malins sur le coup.
Nouvelle récompense pour moi. Ca fait toujours plaisir même si je n’y attache pas une importance particulière.
Le titre de joueur de la saison aurait pu se jouer entre Ferder et Pearson pour moi, tant les deux hommes ont été précieux chacun dans leur registre. Au final, la seule chose qui me « dérange » dans les récompenses des supporters, c’est la présence de McDonald dans l’équipe de la saison.
D’acord, il termine dans le Top 5 des meilleurs buteurs du championnat. Mais cela ne doit pas, à mon sens, occulter la mentalité dont il a fait preuve tout au long de cet exercice 2036-2037.
- Les tops :
| PEARSON Billy | |
|---|---|
| Poste : | Milieu offensif/Attaquant |
| Rôle : | Ailier intérieur/Faux neuf |
| Matchs : | 37(3) |
| Buts : | 31 |
| Passes décisives : | 20 |
| Homme du match : | 10 |
| Note moyenne : | 7,79/10 |
Toujours présent, toujours debout.
L’âge ne semble pas avoir de prise sur Billy Pearson tant l’international anglais rayonne dans mon trio offensif. Qu’il termine meilleur buteur ET meilleur passeur de Premier League est assez significatif de son niveau incroyable.
Pour pallier aux irrégularités de McDonald, je le fais jouer à plusieurs reprises en pointe, un retour au source en somme puisque c’est à ce poste qu’il évoluait au moment où il nous a rejoint. Dans son rôle de faux neuf, il a la possibilité de moins se dépenser et du coup se préserver au mieux pour les grandes échéances.
| FERDER Morgan | |
|---|---|
| Poste : | Milieu défensif |
| Rôle : | Meneur de jeu en retrait |
| Matchs : | 45(3) |
| Buts : | 1 |
| Passes décisives : | 1 |
| Homme du match : | 1 |
| Note moyenne : | 7,57/10 |
Le pro pour tenir la baraque, c’est lui. Toujours aussi précieux défensivement parlant comme en transition, Ferder affiche un niveau de jeu assez haut et constant tout au long de la saison. C’est un véritable luxe de pouvoir compter sur un profil comme le sien.
| NOH Woon-Jae | |
|---|---|
| Poste : | Milieu central |
| Rôle : | Meneur de jeu avancé |
| Matchs : | 36(6) |
| Buts : | 6 |
| Passes décisives : | 15 |
| Homme du match : | 6 |
| Note moyenne : | 7,55/10 |
Si Ferder est le garant de la stabilité au milieu de terrain, Noh Woon-Jae en est le dynamiteur. Véritable joueur de différence, le sud-coréen se montre intraitable en reconversion offensive. Capable d’orienter le jeu comme d’accompagner chaque offensive par ses courses vers l’avant, il présente également une entente technique fort intéressante avec Pearson ou Cowan. Et dire qu’il n’a que 20 ans.
- Les flops :
Josh Cole ne se montre pas encore vraiment à son avantage. En tout cas, son niveau de jeu est bien loin de celui affiché la saison passée en Serie A. Avec seulement 6 pions en 33 rencontres, il ne présente pas encore une alternative crédible à Peter McDonald.
Peter McDonald ne sort pas d’une mauvaise saison, statiquement parlant du moins. Avec 21 buts en 41 rencontres, il a su se montrer à son avantage devant les buts adversaires. Le problème est tout autre et il réside dans la mentalité du joueur. Nonchalant à l’entrainement comme en match, l’international anglais se repose trop sur son talent et pas assez sur son travail et cela se ressent lorsque nous sommes en difficulté : Il n’existe tout simplement plus.
Ecarté en fin de saison au profil de Pearson, le joueur se fâche déjà après deux matchs sur le banc, sans jamais sembler se remettre en question. Ce n’est pas ce que je veux pour Watford.
Voici quelques infos en vrac concernant l’effectif.
-
Peter McDonald pourrait quitter le club dès cet été. Sa nonchalance à l’entrainement et son manque d’entrain en match sont trop préjudiciables à l’équipe.
-
Marcus Sani, annoncé sur le départ, a finalement accepté de prolonger son contrat pour plusieurs saisons. Il ne quittera donc pas les Hornets à l’intersaison.
-
Comme prévu, Erling Haaland prend sa retraite en cette fin de saison. Le joueur n’a pas encore considéré la possibilité d’intégrer le staff de l’académie.
Encore une cuvée pas terrible. Cela fait plusieurs saisons que nous n’avons plus eu de véritable crack, c’est un peu interpellant. Je ne serais en tout cas pas surpris que le président prenne des mesures en fin de saison par rapport à ça.
Que dire de notre saison, qu’elle est réussie ? Oui et non. En championnat, nous l’emportons une fois de plus, la cinquième consécutive, tout en terminant une fois de plus invaincu. Nous repartons également avec la Community Shield. Mais c’est tout.
Cetains vont dire que c’est prétentieux de ne pas se montrer totalement satisfait de tels résultats. Mais nous sommes Watford. Nous sommes au sein d’un club qui vise l’excellence et qui est habitué depuis plusieurs saisons à remporter tout ou presque.
Enfin, il faut tout de même relativiser. Nous ne perdons pas en Ligue des champions parce que nous avons foncièrement été mauvais. Nous perdons parce que nos adversaires se révèlent plus sûrs de leurs forces.
A bientôt ! 