Quelle dramaturgie, quel suspens
Comment fonctionnent les barrages ? Demi-finale / finale ?
Je tâinvite Ă engager @Loozar dans ton staff. Câest un spĂ©cialiste des barrages, il a ça dans le sang
Résultats non garantis
Mais les émotions oui
Match Ă suspens !! Dommage quand on regarde ta saison dans le rĂ©tro et quâon voit certains matchs oĂč tu as choke⊠Tâes sĂ»r que @Loozar ne fait pas partie de ton staff en sâcretâ ?
Sâil perd en barrages, on aura la rĂ©ponse
@Loozar un scénario à la Spielberg. Pour les barrages il y a demi-finale et finale, les deux en match aller-retour
@Wasyl merci pour la proposition, je vais y réfléchir mais je préfÚre monter
@CaptainAmericka ça reste un peu frustrant câest vrai au vu des quelques rĂ©sultats
@toopil les barrages vont se définir sur cette derniÚre journée
Ăpisode 11 â Lâheure de vĂ©ritĂ©
AprĂšs une saison Ă batailler sans relĂąche, le destin de la Compostela se joue sur ces 90 derniĂšres minutes. Toute une ville a les yeux rivĂ©s sur ce dernier match, entre espoir de montĂ©e et crainte de voir les efforts dâune annĂ©e partir en fumĂ©e. La pression est immense, mais les joueurs savent ce quâil leur reste Ă faire.
Avant-Match
Ce soir, le Vero Boquete accueille un choc dĂ©cisif : Compostela reçoit Marino. De lâautre cĂŽtĂ©, Pontevedra affronte Ponte au mĂȘme moment. AprĂšs une saison longue et Ă©prouvante, tout se joue sur une seule soirĂ©e. Avec un point de retard sur Pontevedra, mais devant eux au goal average, Compostela sait que plusieurs scĂ©narios sont possibles. Dans tous les cas, les leaders ne doivent pas gagner.
Dans les vestiaires, lâatmosphĂšre est calme, les joueurs concentrĂ©s. Chacun mesure lâimportance de lâenjeu. Manuel VĂĄzquez finalise les derniers ajustements tactiques avant la rencontre. Le groupe doit cependant composer avec plusieurs absences : Patricio GuillĂ©n, titulaire dans les cages est blessĂ©, câest Borja Rey qui va prendre la relĂšve. Aussi Pep CaballĂ© sur lâaile droite, tandis que lâailier gauche Elliot, de retour de blessure, dĂ©marre sur le banc. On note aussi lâabsence de Manu Rivas.
Malgré ces contraintes, malgré des repositionnements inattendus, la détermination reste intacte.
De leur cĂŽtĂ©, les supporters sont dĂ©jĂ prĂȘts !
PremiĂšre mi-temps
Coup de sifflet au Vero Boquete. Coup de sifflet au PasarĂłn.
Deux matchs pour une seule place. Deux équipes pour le titre.
Ă peine quelques minutes et dĂ©jĂ un frisson dans les tribunes de Compostelle. Ă la 5e, les nouvelles tombent, Ponte vient dâouvrir le score contre Pontevedra. Des bras sâagitent. Des visages sâilluminent. Le rĂȘve est vivant.
Manuel ne bouge pas. Il lâavait dit : il ne regardera pas sur les autres terrains.
Mais lâeuphorie est de courte durĂ©e. Une
minute aprĂšs, Pontevedra Ă©galise. Lâexcitation descend dĂ©jĂ .
AprĂšs dĂ©jĂ deux buts sur lâautre terrain, la pelouse locale sâactive.
8e minute, premiÚre alerte : Iglesias (Marino) efface deux joueurs, enroule, juste à cÎté du but.
11e minute, Compostela réagit. Pablo Antas part dans le dos de la défense, son centre est contré. Poteau. Mais il était hors-jeu.
15e minute, AntĂłn de Vicente frappe fort aux abords de la surface, mais le gardien claque la balle au-dessus de la transversale.
22e minute, Barreiro tente une tĂȘte sur un long centre de Varela. Câest sans danger.
26e minute, cette fois câest Fer BeltrĂĄn qui frappe au-dessus. Il manque un dĂ©clic. Et il ne vient pas encore.
Dans les tribunes, les regards se croisent avec anxiété. à Pontevedra, le deuxiÚme but tombe à la 37e. Le leader reprend son avance.
44e minute. Une perte de balle au milieu des Compostelans. Une transition rapide de Marino, et Sérigne conclut. 0-1.
Le coup est rude. Au bord du terrain, Manuel serre les poings. Rien nâest perdu, mais dĂ©sormais, tout devient beaucoup plus compliquĂ©.
DeuxiĂšme mi-temps
Au retour des vestiaires on sait que câest presque mission impossible.
Sur les deux terrains, la pression est Ă son comble. Le rĂȘve dâune montĂ©e directe est suspendu Ă chaque rumeur venant de Pontevedra.
Dans les tribunes, on entend dĂ©jĂ les nouvelles de Pontevedra. 48e, ils inscrivent un troisiĂšme but. Le scĂ©nario idĂ©al sâĂ©loigne.
51e minute, un long dégagement du Marino trouve Cabrera, qui tente sa chance de loin. Borja Rey capte sans trembler.
Mais le coup de massue arrive.
60e minute, Marino se projette, FernĂĄndez, 16 ans Ă peine, Ă©limine un dĂ©fenseur dâun crochet sec et double la mise. 0-2.
Un frisson traverse le Vero Boquete. Sur le banc, Manuel reste debout, figé. Pas un mot. Juste un regard noir vers la pelouse.
64e minute, Jaime Santos tente de sonner la révolte. Sa frappe est repoussée.
65e minute, sur le corner qui suit, Samu tente Ă son tour. Au-dessus.
Compostela pousse, mais chaque minute qui passe, voit le coup de sifflet final sâapprocher.
72e minute, coup franc direct de Manu Barreiro. Parade du gardien.
Puis dans la continuitĂ© de lâaction, Hugo Matos relance enfin le match dâune frappe puissante, barre rentrante. Mais non, il est signalĂ© hors-jeu.
Le silence qui suit est glaçant.
Pendant ce temps, Pontevedra gĂšre. Rien ne vient troubler leur emprise. On entend mĂȘme dans le staff un membre souffler :
« Il va falloir penser aux barrages. »
89e minute, enfin une Ă©claircie. Sur un centre dâAntĂłn de Vicente, Samu surgit et rĂ©duit lâĂ©cart. 1-2.
Mais dans le temps additionnel, dernier clou du cercueil : 90+1e, Pontevedra marque encore. 4-1.
Et maintenant ?
Au coup de sifflet final, les joueurs restent déçus de leur performance. Ce soir il nây aura pas eu de scĂ©nario renversant. Pas de miracle.
Pontevedra a fait le travail de son cÎté et Marino nous a tenu en échec.
Manuel sâavance sur la pelouse, fĂ©licite ses hommes un par un. Dans les tribunes, une ovation. Pas pour la dĂ©faite, mais pour la saison. Le public aussi sait quâil faut rester derriĂšre lâĂ©quipe jusquâau dernier moment.
Il reste une voie. Moins directe, mais encore ouverte : les barrages.
Manuel fait un dernier signe de remerciement Ă la tribune, puis rentre, lentement, vers les couloirs.
DerriÚre lui, les joueurs suivent, un à un. Silencieux, les regards bas. Déjà dirigés vers les prochaines rencontres.
Classement final
Le verdict est tombé. Compostela termine à la 2e place.
Pontevedra finit donc champion de ce groupe.
Carnet de Manuel VĂĄzquez â 5 mai 2024
« Les barrages arrivent. On connaĂźt nos adversaires. Je ne sais pas trop quoi dire dâautre ce soir.
On a tout donnĂ©. Jusquâau bout. Mais parfois, ce nâest pas suffisant. Jâaurais voulu Ă©crire quelque chose de fort, quelque chose pour lâĂ©quipe, pour le club, pour moi. Mais pas ce soir. Câest tout ce que jâarrive Ă Ă©crire. »
Pas de regret sur ce dernier ratage, tâaurais pas pu passer premier de toute façon
Maintenant je me tiens éloigné pour ne pas te porter la guigne
La pression monte
Frustrant, mais tout nâest pas perdu, une montĂ©e par les barrages sera encore plus Ă©pique !!
Je me sens comme un castor avec tous ces barrages dans les storys
Puisse la chance ĂȘtre avec toi
Vu le score dans lâautre match, les regrets Ă avoir proviennent de matchs qui se sont jouĂ©s il y a bien longtemps !
Maintenant focus sur les barrages !
Pas de regrets. Il vaut mieux perdre maintenant quâen barrages!
@Loozar câest vrai, on aurait dĂ» rĂ©cupĂ©rer cette premiĂšre place bien avant
on verra si tu as raison de tâĂ©carter un peu
@Rhino encore plus de pression que dans une pinte
@Manthyz la saison serait encore plus belle
@Wasyl attention Ă pas te prendre dâĂ©chardes quand mĂȘme
@CaptainAmericka ce dernier match montre lâirrĂ©gularitĂ© quâon a eu toute la saison
@toopil oui surtout que cette victoire nâaurait mĂȘme rien changĂ©
Ăpisode 12 â Deux matchs pour une finale
On sâapproche de la fin. Plus que deux tours pour espĂ©rer la montĂ©e. Deux matchs Ă jouer pour atteindre la finale.
En face de nous, lâUCAM Murcia, un adversaire solide, 5e de son groupe.
Il nây a plus de calculs possibles. Chaque minute peut faire basculer la saison.
On est fatigués, diminués, mais encore là .
Avant la bataille
Le Vero Boquete nâa jamais Ă©tĂ© aussi rempli cette saison. 10 806 spectateurs, une affluence qui dĂ©passe trĂšs largement les standards habituels de la saison (dix fois plus que dâhabitude). Le club joue sa chance dans cette course Ă la montĂ©e et la ville a rĂ©pondu prĂ©sent.
Sur la feuille de match pourtant, la composition ne rassure pas. Le gardien titulaire, Patricio GuillĂ©n, est blessĂ©. Sur la pelouse, son remplaçant, Borja Rey, critiquĂ© toute la saison, sait quâil nâaura pas le droit Ă lâerreur.
Pep Caballé, ailier droit, est toujours absent. Manu Rivas, autre option offensive, également forfait. Trois absents, et déjà , un banc réduit pour aborder la rencontre.
En face, lâUCAM Murcia. Une Ă©quipe bien en place qui fera office de favori sur cette double confrontation.
Mais ce soir, ce nâest pas ça qui compte. Ce soir, câest un combat. Ce qui compte câest ce qui va se passer sur le terrain.
Les joueurs le savent : il faut marquer les esprits dĂšs ce soir. Prendre lâavantage Ă domicile est primordial pour espĂ©rer atteindre les finales.
Demi-finale / Match aller
Dans une ambiance survoltĂ©e, le Vero Boquete pousse dâentrĂ©e. DĂšs la 7e minute, un frisson parcourt les tribunes. Alberto RĂłdenas est lancĂ© dans le dos de la dĂ©fense et conclut, mais lâarbitre lĂšve le drapeau. Hors-jeu.
Le match est serré, chaque ballon est disputé. La premiÚre mi-temps se clÎt sur un score nul avec quelques occasions des deux cÎtés.
Borja Rey, titularisĂ© dans les cages en lâabsence de Patricio, se fait une frayeur sur un centre flottant Ă la 51e. Une faute de main sans consĂ©quence.
Deux minutes plus tard, câest lâUCAM qui frappe fort. Vicente Romero envoie une frappe rasante depuis plus de 30 mĂštres, la balle file au sol et surprend tout le monde. 0-1.
Mais Compostela ne doute pas. Riki Mangana dĂ©borde Ă droite Ă la 57e, centre tendu au second poteau, et Elliot surgit. Il met la tĂȘte et but. Le stade explose, 1-1.
Les minutes défilent. Murcia touche deux fois les poteaux. Le danger plane constamment. Et à la 81e, le coup dur. Fer Beltrån se blesse en taclant. Il est contraint de sortir.
Mais les galiciens ne lĂąchent rien. Ă la 84e, Jaime Santos profite dâun contre favorable, sâavance seul face au gardien et envoie le ballon dans la lucarne. 2-1.
Au coup de sifflet final, les visages sont marquĂ©s. Ce soir, Compostela prend lâavantage. Rien nâest encore fait. Mais ils ont lâavantage avant le retour.
Entre deux matchs
La victoire du match aller (2-1) a offert un lĂ©ger avantage. Il faudra le dĂ©fendre. Dans ce format, en cas dâĂ©galitĂ© sur lâensemble des deux matchs, câest le classement en saison rĂ©guliĂšre qui tranche. Et Murcia est derriĂšre. Un nul au cumulĂ© nous suffit, mais il faudra tenir.
Ce ne sera pas simple. Fer BeltrĂĄn, touchĂ© Ă lâadducteur Ă lâaller, ne fera pas le dĂ©placement. Pep CaballĂ© est encore forfait, Manu Rivas incertain. Patricio GuillĂ©n est toujours absent dans les cages.
Mais câest ailleurs que le groupe a encaissĂ© les coups les plus durs. Entre les deux matchs, les annonces se sont succĂ©dĂ©s.
Patricio GuillĂ©n et AntĂłn de Vicente ont annoncĂ© quâils prendraient leur retraite Ă la fin de la saison.
Le mĂ©decin chef du club arrĂȘte aussi. Et avec lui, un des dirigeant quitte aussi ses fonctions.
Kike Vidal sâest exprimĂ© sur son mĂ©contentement contractuel. Ce nâest pas le moment. Mais câest tombĂ© maintenant. Câest incomprĂ©hensible de perturber lâĂ©quilibre du groupe dans une pĂ©riode aussi importante.
Ă lâentraĂźnement, lâambiance a changĂ©. Les regards sont lourds. Les discussions plus brĂšves.
Mais il ne reste que 90 minutes.
Dans le vestiaire Manuel finit son briefing. Un silence. Puis :
« On nâa pas fait tout ça pour tomber maintenant. On Ă lâavantage. Pourquoi on baisse la tĂȘte maintenant ? »
Demi-finale / Match retour
La pelouse de La Condomina est impeccable. 6 500 spectateurs ont rempli les tribunes. LâUCAM est chez elle. Dans ce chaudron, il va falloir tenir.
Trois noms surprennent sur la feuille de match. Brais RodrĂguez, gardien de lâĂ©quipe C, est titularisĂ©. Samu prend place au milieu. Et sur le banc, Miguel, tout juste sorti des jeunes, vit sa premiĂšre convocation chez les A.
Mais sur le terrain, dĂšs les premiĂšres minutes, câest Brais qui se montre. Ă la 10e, face Ă un attaquant lancĂ©, il sâimpose dans un face-Ă -face et maintient les siens Ă flot. On serre les dents, mais on tient.
à la 32e, premiÚre lueur galicienne. Antón de Vicente tente sa chance aux abords de la surface mais la frappe est trop molle. Sur le contre immédiat, Brais Rodriguez est encore là . Il repousse une nouvelle frappe sur un duel. Il gagne du temps, mais il ne peut pas tout repousser éternellement.
Ă la 40e, Alberto RĂłdenas allume une frappe venue dâailleurs en lucarne. InarrĂȘtable. 2-2 au cumulĂ©. LâUCAM revient Ă hauteur.
En seconde pĂ©riode, Ă la 58e, Miguel Serna, le gardien adverse, se blesse. Changement forcĂ©. Tournant du match ? On veut y croire. Mais lâespoir est de courte durĂ©e.
66e minute. Encore Ródenas. ContrÎle orienté, frappe lourde. Le ballon fuse, Brais est battu. 3-2 au cumulé. Cette fois, on est derriÚre.
On pousse, sans trop y croire, puis, Ă la 88e. Jordan, se retrouve seul au point de penalty. Il peut remettre les compteurs Ă Ă©galitĂ©. Il frappe⊠à cĂŽtĂ©. Lâimmanquable.
Le chrono file, les jambes lĂąchent. Ă la 94e, LâUCAM touche une derniĂšre fois la barre. avant de pousser encore quelques instants. Murcia aurait pu enfoncer le clou, mais ça nâaurait rien changĂ©. Lâessentiel est dĂ©jĂ scellĂ©.
Le coup de sifflet final résonne comme un échec.
Certains joueurs sâeffondrent, dâautres restent debout, immobiles. Personne ne parle. Juste une Ă©vidence : câest terminĂ©.
DerriĂšre eux, sur la pelouse de La Condomina, les joueurs de lâUCAM Murcia exultent. Le contraste est cruel. Tout autour, 6 500 spectateurs debouts, bruyants. Mais pour les nĂŽtres, le son semble lointain, Ă©touffĂ©, comme si le monde sâĂ©tait mis sur pause.
Manuel ne réagit pas. Il observe ses hommes depuis la ligne de touche. Il ne dit rien. Il ne bouge pas. Il encaisse.
Le staff, derriÚre lui, reste figé. Aucun mot ne vient. Pas maintenant.
Brais RodrĂguez reste accroupi prĂšs de son but. Les gants posĂ©s sur ses genoux. Premier match avec lâĂ©quipe A. Deux parades magistrales. Deux buts encaissĂ©s. Une Ă©limination. Il reste lĂ , le regard perdu.
Patricio Guillén regarde la scÚne depuis les tribunes. Bras posés sur la rambarde, les yeux humides. Sa carriÚre se termine là -dessus.
Non loin de lui, AntĂłn de Vicente est en larmes. Il le savait mais ça ne change rien. CâĂ©tait aussi son dernier match. Il nây en aura pas dâautre.
Peu Ă peu, les joueurs rentrent. En silence. La marche est lente.
Le tunnel est sombre. Manuel les suit Ă distance. Il sâarrĂȘte un instant devant la porte du vestiaire. Il inspire longtemps. Puis entre.
Il referme la porte derriĂšre lui.
Carnet de Manuel VĂĄzquez â 19 mai 2024
Je lâĂ©cris dans le bus. Personne ne parle. Certains dorment, dâautres regardent par la fenĂȘtre.
Câest un moment difficile pour tout le monde. Une Ă©limination, ça fait mal. Mais celle-lĂ , elle pique plus que les autres.
Je ne leur reproche rien. Ils ont tout laissĂ© sur le terrain. On nâa juste pas Ă©tĂ© Ă la hauteur.
Pas sur le deuxiÚme match. Pas quand il fallait.Il y a des départs qui se préparent. Des annonces en attente.
On ne sait pas encore Ă quoi ressemblera la saison prochaine. On ne sait mĂȘme pas qui sera encore lĂ .
Mais ce soir, ça nâa pas dâimportance. Ce soir, on rentre chez nous. Câest tout.
Ă suivre : une bascule pour le club
Ouch, les montagnes russes Le jeu ne tâa mĂȘme pas laissĂ© le petit avantage de recevoir au retour
En gĂ©nĂ©ral câest le genre de traumatisme que le reste du championnat regrette lâannĂ©e dâaprĂšs, quand tu finis champion avec 17 points dâavance
Pas de chance cette double confrontation !
Ca rajoute toutefois du piment Ă ton rĂ©cit ; je suis curieux de voir ton mercato de lâan prochain !
Câest marrant, jâavais loupĂ© cette story et en prĂ©vision de mes vacances jâai justement lancĂ© une partie avec ce club!
Tu as réalisé une trÚs belle premiÚre saison, qui reste trÚs frustrante de par son dénouement!
TrÚs agréable à lire, je vais suivre le suite de prÚs!
Les boules⊠Bizarrement, arriver Ă une doubles confrontation cruciale avec des absents, câest typique de FM Et ça ne tâa pas loupĂ©âŠ
Lâinter-saison va ĂȘtre capitale car la saison prochaine, il faudra rĂ©ussir, pas le choix !