:storyblue: :s12: 🇵🇾 Chilavert Will Never Walk Alone

[Groot]

Witoszynki remporte sans conteste le Ballon d’Or 2023.

Malgré une Copa America raté, l’ailier de Liverpool a réalisé une saison fantastique avec son club et devance logiquement Eden Hazard et Neymar.

C’était un secret de polichinelle. Depuis samedi dernier et la fuite du quotidien britannique The Sun, qui avait surpris les photographes de France Football vendredi au camp d’entrainement de Liverpool en train d’immortaliser la star paraguayenne sur pellicule avec son trophée, le doute n’était plus guère possible. Facundo Witoszynki est bien le nouveau Ballon d’Or. Son sacre a été officialisé dès mardi à 3h00 du matin sur le site internet du bihebdomadaire. Le guarani a été élu avec une très large majorité des suffrages : 77 fois premier sur 96 votes, 574 points sur 600 possibles. Il devance Eden Hazard (305 points) et Neymar (169). Witoszynki succède à l’argentin Lamela, lauréat la saison dernière, et devient, à seulement 25 ans, le premier Paraguayen de l’Histoire à décrocher la plus prestigieuses des récompenses individuelles.

«Je suis le meilleur»

Bien qu’ayant quelque peu manqué la Copa America (1 seul but inscrit contre la bolivie en phase de groupes, élimination en quarts de finale (3-2) par le Brésil), Witoszynki était le grand favori. Le joueur se montrait d’ailleurs particulièrement confiant à l’approche du verdict, parfois même à la limite de l’arrogance : «Je suis le premier le deuxième et le troisième meilleur joueur du monde», ou encore, «Je ne vois pas de rivaux, je suis tranquille. Si vous regardez ce que j’ai fait au cours de la saison, je pense que j’ai fait plus que n’importe qui. Que devrais-je faire de plus pour gagner le Ballon d’Or et le prix FIFA», confiait-il vendredi à La Gazzetta dello Sport. Des déclarations à la limite de la provocation. Witoszynki parle finalement un peu comme il joue au football. S’il agace et compte de nombreux détracteurs, il faut bien reconnaître que l’ancien prodige du SL Benfica, qu’il a quitté l’été dernier pour 65 millions d’Euros, fait lever les foules. Spectaculaire, son jeu a qui plus est gagné en efficacité cette année.

Des statistiques impressionnantes

En témoignent ses statistiques stratosphériques : 45 buts en 41 matches toutes compétitions confondues la saison passée, 40 en Liga Sagres, 3 en Ligue des Champions, dont 1 lors de la finale remportée face à Manchester City (2-1). Désigné meilleur joueur du Portugal, 4 fois de suite, par ses pairs, la presse et le public, il est également élu MVP de la Ligue des Champions et reçoit le Soulier d’Or, trophée récompensant le meilleur buteur de tous les championnats européens confondus. Cette saison c’est déjà 15 buts et 16 passes décisives alors qu’il ne pèse pas encore vraiment sur le jeu de Liverpool. Les performances individuelles ne suffisent cependant pas à obtenir le Ballon d’Or, le jury plaçant le palmarès collectif en tête de ses critères de sélection. Or, Witoszynki a également tout gagné avec le Benfica ses deux dernières saisons (2 Liga Sagres, 2 Champion’s League, 1 Taça, 2 Coupe de la Ligue, 2 SuperTaça, 2 Supercoupe d’Europe, 1 championnat du Monde des clubs) avec le SL Benfica. L’élimination prématurée du Paraguay à la Copa America ne lui aura donc pas coûté trop cher. Ce trophée vient donc aussi récompenser la formidable saison de Benfica, qui n’avait plus goûté au Ballon d’Or depuis Eusebio il y a 58 ans (1965) !

Le mieux payé de l’histoire des Reds

José-Luis Chilavert, qui le chouchoute depuis ses débuts a Velez Sarsfield ne doit pas regretter d’en avoir fait en Aout le joueur le mieux payé de toute l’histoire du club (11 millions d’euros net annuel). Sa deuxième partie de l’année est certes plus délicate, Facundo ayant été contrait de se faire opérer du genou droit après la Copa America, une blessure qu’il traînait depuis quatre mois et qui l’a écarté des terrains pendant deux mois. Cela ne l’a toutefois pas empêché de passer la barre mythique des 100 buts (101 en 125 rencontres, auxquels on peut ajouter ses 86 passes décisives) sous le maillot des Aigles du Benfica le 15 Mai dernier à l’occasion d’un doublé contre Porto (5-0). Tout simplement ahurissant pour un joueur de couloir qui entame seulement sa 5e saison en Europe…

[Groot]

Chilavert, meilleur entraineur de l’année

José-Luis Chilavert, l’entraineur de Liverpool et ancien coach du Benfica, a remporté ce lundi le titre de meilleur entraineur FIFA de l’année, se succédant à lui même au palmarès.

Facundo Witoszynki n’a pas été le seul représentant du Benfica à être primé ce soir lors de la cérémonie FIFA organisée à Zurich. Il en est de même pour son coach, José Luis Chilavert. Comme il y a douze mois, le très respecté technicien guarani a pris sa revanche, confirmant qu’il n’est pas qu’un feu de paille en Europe, en décrochant le titre du coach de l’année 2023. Une récompense largement méritée puisqu’il a mené sa formation lusitanienne à cinq titres majeurs (8 en tout), à savoir la Liga Sagres, la Ligue des Champions, la Supercoupe d’Europe et la Coupe du Monde des clubs et le Taça. Au nombre des suffrages, il a devancé Laurent Blanc et José Mourinho, le manager de City qu’il a battu en finale de la dernière C1 (2-1).

16 titres avec le Benfica

A 58 ans, Chilavert vient donc récolter sur le plan individuel tous les fruits qu’il a semés depuis son intronisation au poste d’entraineur au Benfica, en 2019. L’ancien joueur de l’équipe paraguayenne s’est offert pas moins de seize titres en quatre ans et c’est plus que n’importe lequel de ces prédécesseurs. Meme s’il atteste que tout le mérite revient à ses protégés, il est clair qu’il y est aussi pour quelque chose. Et tous ses confrères s’accordent à le dire, à l’instar de Rudi Garcia, le meilleur entraineur français. Présent à Zurich, ce dernier a lâché : « On ne le dit pas assez, ce qu’il a fait au Benfica est admirable. Il est capable de fédérer tous ses joueurs pour atteindre les sommets. Gagner des titres est une drogue. Le Benfica était à l’image de son entraîneur : humble, travailleur, talentueux et ambitieux. Chilavert a donné un style, une vraie identité de jeu à son équipe. Je trouve qu’il est formidable, d’ailleurs il semble reproduire le même schéma avec Liverpool».

Membre de la Dream Team de Velez qui a remporté la Libertadores en 1996, Chilavert est donc parvenu à réussir également sur le banc. Ce n’était pas gagné d’avance, mais il y est parvenu en faisant produire à sa formation un football de rêve. Les mauvaises langues disent que tout était réuni pour que sa mission soit un succès, mais Chila n’a que faire de ces remarques. La preuve ; en dépit de quelques moments difficiles traversés, il est toujours resté fidèle aux Benfica depuis son arrivée en Europe, jusqu’en Juin dernier. Par ailleurs, son discours a toujours été porté vers l’intérêt collectif et ceux qui ne l’ont pas compris l’ont vite appris à leurs dépens (Markovic). Enfin, Chilavert est aussi à loué pour son élégance et son sang-froid, à l’image de ceux qu’il a affichés cette année à l’occasion des très chauds Clasicos contre Manchester United en Premier League, malgré la claque infligé mi septembre.

[Groot]

@TomCleverley

Que pensez vous du niveau de la Premier League, par rapport au autre championnat dans les quels vous avez joué?

Des différents championnat que j’ai parcouru la première League est surement le plus compétitif mais aussi le plus homogène, même le 20ème peut battre le dernier.

En Argentine, le championnat est balisé. Les gros ont une telle puissance que leur domination n’est que plus forte. Au Brésil au contraire le championnat est assez homogène tout en étant nivelé. Il est aussi assez cyclique. La MLS comme vous le savez est une ligue fermé, de ce fait les mêmes equipes évoluent toujours ensemble. Pour autant c’est souvent les 2-3 mêmes franchises qui l’emportent. Pareil pour le mexique ou America, Chivas et les JAguares se partagent les titres. En Europe c’est différent plus tactique. Au Portugal trois clubs dominent sans partage, le FC Porto, le Benfica et le sporting. Benfica et Porto sont deux supers puissances aux moyens colossaux.[/quote]

[Groot]

Liverpool - Un début d’année en fanfare !!!

Nous sommes donc en 2024, Les fêtes se sont bien passé et les joueurs sont dégouté, en effet en Angleterre pas le temps de réellement consommé car le jour de l’an on joue. Et pour commencer cette année on commence par la réception de Swansea City à la maison. Avant de disputer ce match au moment de l’entrée sur le terrain la direction avait préparé un événement. En effet alors que moi et Facundo avons fait un petit tour pour présenter nos titres de meilleur entraineur de l’année et de ballon d’or. Les deux kops nous ont réservé un acceuil dantesque avec deux tifos énorme pour nous félicité. La veille Jorge nous avait invité pour regarder Benfica Porto chez lui. Les supporters du SLB ne nous ont pas oublié et nous ont aussi réservé un joli tifos.

Le match contre Swansea a ensuite démarrer. Durant les premières minutes, nous avons ronronné. Il faut dire que les 22 joueurs ont du mal après le réveillon. On s’est détaché peu avant la mi-temps. Markus Muller a d’abord ouvert le score, combinant idéalement avec Facundo, le jeune allemand a profité de la fougue du récent ballon d’or pour crucifier l’international français Benoît Costil. Sur l’engagement qui suivit c’est un Facundo surmotivé qui arracha la balle des pieds du capitaine Stephen Roberts puis qui dribbla Morel et Richardson, se présentant devant Costil, mais le récent ballon d’or est aussi doué dans l’art de la passe et a décidé de servir Sergio Martinez mieux placé que lui. L’ailier paraguayen termina sa prestation XXL d’un maître coup franc. Il se dit que c’est mon désormais adjoint Cristiano Ronaldo qui lui a appris a tirer les CF lorsque nous étions au Portugal.

Pour fêter ce début d’année débuter par une victoire j’ai choisi de laisser deux jours off aux garçons afin qu’il se repose un peu en famille. On se retrouva derrière pour aller défier Southend en FA Cup pour le 3ème tour de cette compétition. Pour ce match j’ai choisi d’aligner une equipe largement remanié dans l’esprit que je veux donner a la Cup.

[tac4231]Hermann, McGhee, Bayon, Fuego, Veloso, Sanchez, Burbano, Witoszynki, Brown, Erpen, Muller[/tac4231]

On retrouve donc le jeune allemand Hermann né a Liverpool, McGhee et Veloso sur les ailes. Dans l’axe on retrouve notre paire de jeunes centraux espagnols Bayon et Fuego. le jeune Sanchez sera en 1/2 centre avec devant lui son compère sud)Américains Burbano, Brown formé chez les reds guidera le jeu en pure numéro 10 qu’il est. Sur les ailes ce sont les habituels titulaires Muller et Facundo qui devront mettre le feu. En pointe on retrouve le jeune Carlos Erpen arrivé il y a deux jours d’Argentine est une pépite en puissance.

Cette jeune equipe s’est dévoué tout le match, sans être récompensé en touchant même par trois fois les montants, Erpen pour ses débuts en Angleterre aura été très malheureux, deux poteaux sont pour lui. En seconde période j’ai choisis de faire rentrer les jeunes Wildgrass, Johnson et Horgan. Les trois baby reds ont dynamité le jeu. La différence s’est finalement faite sur un coup franc surpuissant de Facundo Witoszynki. Le tirage qui suivit fut clément puisqu’on rencontrera Fleetwood pensionnaire de League One.

On enchaîne ensuite avec Manchester United en Demi Finale aller de Capital One Cup. Encore une fois a Old Trafford les Reds Devils nous ont dominé. Yassine Benzia, goleador attitré depuis son arrivée du FC Porto a rapidement ouvert le score, et cela a certainement remis en cause nos certitudes. Par la suite on a tout tenté enchainant les actions de classes, bien aidés par notre duo de milieu offensif paraguayen. Mais au moment ou nous revenions en force, les mancuniens nous ont remis sous terre en doublant la mise via leurs superstar, l’international belge Adnan Januzaj. Mais la donne sera différente au match retour.

Mais avant cela trois journées de championnat nous attendais, et ce périple commençait par un déplacement a sheffield. Dans ce déplacement plutôt court on s’est remis en selle en fin de match. Hervin Ongenda ouvrit le score après un beau mouvement de Iker Muniain revenus de blessure. En toute fin de temps additionnels c’est Sergio Martinez qui trouva l’ouverture en lobant le goal adverse.

Pas le temps de souffler que c’est Loftus Road et QPR qui nous attendais. Les Rangers ont attaqué pieds au plancher nous surprenant d’entrée avec un but de l’espoir Keiichi Takei. On se repris peu avant la mi-temps sur une égalisation de Sergio Martinez sur un service millimétré de vera. A l’aube du dernier quart d’heure c’est Markus Muller qui s’est incrusté depuis deux mois dans le 11 qui doubla la mise. En fin de match Capitaine Henderson inscrivit le troisième but de l’équipe sur un coup franc flottant sublime.

A peine 10 jours après la claque d’Old trafford on retrouver United mais en championnat cette fois et à Anfield en plus. Cette fois la donne fut différente. D’entrée les mancuniens ont été acculés. Sergio Martinez a trouver l’ouverture dés la 10ème minute. Puis dans la foulée Markus Muller, doubla la mise sur un lob astucieux. Enfin pour finir une mi-temps fabuleuse c’est Sergio Martinez qui d’offrit un doublé. A ce moment la nous savions que le match ne nous échapperais pas ! Et le but rapide d’Escopedo sur la reprise ne changea rien. Je suis fier de ce que les garçons ont réussi mais il faudra continuer dans deux jours car on va retrouver les Red Devils a Anfield en Carling Cup

On se retrouve donc a Anfield avec deux buts de retards sur United. Les joueurs de Roy Keane nous ont bousculé à l’aller. Mais on va tout faire pour revenir. Le match fut intense en première période mais ni Muller, ni Facundo, ni Escubero n’ont trouvé la faille ce soir. La différence s’est faite en seconde période. Le jeune prodige turc a lancé les Devils en ouvrant vite la marque, mais Martinez répondit presque dans la foulée d’un tir enroulé de toute beauté. Mais ce United reste trop fort et Horvat a fait craqu& une seconde fois notre jeune equipe. On quitte donc la tête haute la Capital One cup puisque nos jeunes n’ont pas démérité et ils auront appris nombre de choses.

C’est Fleetwood qui s’est ensuite rendus a Anfield, pour ce quatrième tour de FA Cup. J’ai d’ailleurs aligné la même equipe que contre Southend au début du mois. Encore une fois c’est l’inimitable Facundo Witoszynki que l’on arrête plus qui a trouvé l’ouverture.

On a finis ce mois par un déplacement a Londres pour défier Chelsea dans son sublime Stade Joe Cole. Dans son enceinte de 55 000 places, les blues n’ont pas démérité fort de la prestation de son ailier Eden Hazard, la pépite belge est encore au top malgré ses 32 ans. Pourtant c’est Sergio Martinez qui a inscrit le seul but de ce match. Sur une percée de Facundo, le buteur espagnol a une nouvelle fois profiter d’un nouveau caviar de son partenaire pour inscrire un nouveau but.

Grâce a ce mois sublime en championnat, on remonte a la seconde place a portée de tirs du leader londonien.

[Groot]

Chilavert ne refuserais pas un poste de sélectionneur…
En conférence de presse aujourd’hui a Melwood, le coach de chilavert a fait face a une question plutôt inattendu.
Coach Chila,

[quote]J avais une question sur votre avenir personnel.
Cela fait 11 ans que vous etes entraineur, Liverpool est votre 6ème club, dans un 6ème championnat. Et dans vos précédents clubs vous avez à chaque fois fait pleuvoir les titres.
Mais à 58 ans, vous avez eu deux expériences malheureuses, les deux fois en tant que sélectionneur.
Comment l expliquez vous? Est ce deux fonctions si différentes? Quel est votre impression face à ces résultats si différents?
Enfin, retenterez vous l expérience?[/quote]
La réponse du coach paraguayen devrait pas mal intriguer ces prochains mois.

Et bien je ne sais pas, il est vrai que j’ai déjà eu l’occasion d’entrainer une nation avec le Paraguay puis le Bresil, mais a chaque fois il fallait reconstruire avec des générations pas forcément très talentueuses. Au mauvais endroit au mauvais moment comme on dit. cependant je n’ai pas dit mon dernier mot. Si un président de fédération me contacte je pourrais me laisser tenter. Mais cela n’est pas forcément incompatible avec mon poste ici chez les Reds.

[Groot]

Nataniel Clyne quittera le club en fin de saison.

Nathaniel Clyne a officialisé lundi son départ de Liverpool à l’issue de son contrat, le 30 juin prochain, après huit années passées au club. Le latéral le plus capé de la sélection anglaise (112 sélections), avec qui il a remporté une bardée de titres, n’annoncera pas son nouveau club avant la Coupe du monde. Mais il aura l’embarras du choix pour la suite à donner à sa carrière.

Ce n’est une surprise pour personne, mais c’est désormais officiel. Nathaniel Clyne ne disputera pas une neuvième saison à Liverpool en 2024/2025. Le latéral des scousers (33 ans),299 rencontres avec les Reds, a officialisé lundi son départ à l’issue de son contrat, le 30 juin prochain. “Quand je suis arrivé dans ce club fantastique il y a huit ans, je n’aurais jamais cru que j’aurais la chance de jouer tant de matches et de partager tant de succès, a déclaré Clyne dans un communiqué distribué à la presse anglaise. Ce club est devenu une partie de ma vie.” Le natif de Londres, en a aussi profité pour remercier Brendan Rodgers, entraineur emblématique de Liverpool, ses coéquipiers et ses managers à travers les années, le staff ainsi que les supporters du club.

Après Jack Wilshere, Alex Oxlade Chamberlain et Ross Barkley, qui ont déjà officialisé leur départ de Arsenal et Man City, Clyne est un autre symbole de Premier League à quitter son club. Mais il ne mettra pas un terme à sa carrière, hypothèse un temps évoquée par les medias anglais. Pendant son passage à Liverpool, il a gagné la Premier League à une reprises. Il a également remporté deux Cups avec les Reds. Enfin, il y a décroché deux titres avec la Three Lions, la L’Euro 2020 et la Coupe des Confédérations 2021. Autant de conquêtes dans lesquelles Clyne a joué un rôle clé. Depuis son arrivée au sein du club en 2013, il a toujours disputé un minimum de quarante matches par saison. Seule exception : en 2010/2011, il avait participé à 32 matches, où il avait été gêné par diverses blessures décimant sa première partie de saison. Mais Clyne n’était plus désiré à Liverpool, notamment par Thomas Werner, qui ne souhaitait pas lui proposer de prolongation. Actuellement à Miami avec les Three Lions pour le stage de préparation à l’Euro 2024, l’international anglais (112sélections, 2 buts) ne devrait d’ailleurs pas connaître une quatrième formation britannique, après Crystal Palace, où il a été formé, et Southampton,qu’il avait rejoint au tout début de sa carrière. D’après des rumeurs persistantes, Clyne pourrait rejoindre les New York Red Bulls et y évoluer aux côtés de Kevin Mirallas la saison prochaine. Selon la BBC, il n’annoncera pas sa future destination avant la fin de l’Euro et prendra le temps d’étudier les seize offres qu’aurait reçues son agent. De quoi avoir l’embarras du choix au moment d’envisager la suite de sa carrière.

[Groot]

Jordan Henderson refuse de prolonger avec Liverpool

L’international anglais de Liverpool Jordan Henderson a refusé l’offre de prolongation de contrat que lui a faite le club de la Mersey, a-t-il annoncé mercredi sur son site internet.

Cette décision ouvre la porte à un départ du milieu dès cet été, puisque son contrat avec Liverpool expire en juin 2025, date à laquelle il pourra rejoindre un autre club sans aucune indemnité de transfert.
Si Liverpool veut récupérer de l’argent pour un joueur convoité, il lui reste donc jusqu’à fin août pour trouver un acheteur alors que Manchester United et la Tottenham seraient intéressés.
“J’ai réfléchi pendant longtemps à cette offre, mais j’ai décidé de ne pas prolonger mon contrat”, a-t-il expliqué.
“Vous, les supporters des Reds, avez bien sûr le droit de ne pas être d’accord avec moi et je respecte votre opinion”, a-t-il ajouté.
Agé de 35 ans, Henderson évolue depuis 2010 à Liverpool dont il est le capitaine depuis douze saisons: avec les “Reds”, il a inscrit 90 buts en Championnat d’Angleterre, dont 12 la saison dernière qu’il a clôturée avec le statut de meilleur buteur et de meilleur joueur de Liverpool.
Il a été sélectionné à 128 reprises (29 buts) en équipe d’Angleterre et faisait partie de la sélection anglaise, championne d’Europe en 2020.

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Liverpool - L’aventure prend une tournure intéressante…

Les choses sérieuses reprennent ce mois ci. La ligue Europa signe son retour, on affronte donc Rijeka a la fin du mois, mais on va d’abord se concentrer sur les compétitions nationales. C’est d’abord Tottenham qui se rend a Anfield. Les londoniens ne sont pas en grande forme cette saison. Ils végètent dans le bas du classement. Pour autant la formation de Franck Lampard commence a reprendre du poil de la bête et a récemment quitter la zone des reléguables. Pour autant on ne s’est pas laissés impressionner par leur pressing de début de match. Mais on a vite contrecarrer leurs velléités, A l’aube du second quart d’heure Facundo Witoszynki a passé la seconde et après voir éliminé Martin Montoya a ouvert le score en dribblant le vétéran Hugo Lloris avant de marquer dans le but vide. La suite de cette période n’as été qu’un enchainement de frappes peu précises de part et d’autre du terrain. Le match s’est emballé au retour des vestiaires quand Machupu a réussi a égaliser sur pénalty consécutif a une faute de Powell. Mais dans la foulée Alex Song se faisait exclure pour un mauvais geste sur Facundo. Plus de peur que de mal pour l’ailier guarani qui sort tout de même par sécurité. Cette exclusion aura tout changé Markus Muller se libérant des espaces lui permettant de doublé la mise quelques secondes plus tard. En toute fin de match Tottenham a complètement craqué encaissant deux nouveaux buts du buteur espagnol Sergio Martinez.

Pas le temps de pavaner qu’un choc autrement plus important nous attend contre le leader de Premier League, Arsenal. Les gunners ont parfaitement géré l’après Arsène Wenger en installant aux commandes Antonio Conte, le prolifique ancien entraineur de la Juve a remporté trois culs et une ligue europa en 4 ans a la tête des londoniens. Aujourd’hui Arsenal truste la première place mais pour combien de temps ? Le match aura vite démarré Vlado Haramustek ouvrant le score rapidement pour les gunners. ce que Conte ne pouvait pas prévoir en revanche c’est le dégagement de Szcesny sur Uzun qui rentre directement dans son but et nous replace immédiatement dans la course alors que la seconde période vient de démarrer. On s’est lâché par la suite mais ce n’est qu’en toute fin de match que Markus Muller est parvenu a tromper Szcescny pour nous offrir la victore… Et nous envois provisoirement a 2 pts de manchester City nouveau leader.

On retrouve ensuite la lanterne rouge de Premier League j’ai nommé Bournemouth, si Facundo a fait la différence sur un maître coup franc, son cinquième de la saison pour son 19ème but, c’est Freddy Perreira qui a été nommé Homme du match. En effet alors que nous nous efforciames a chercher le second but le jeune buteur du petit poucet a réussi a tromper Joostern par deux fois… On s’incline au pire des moments alors que nous pouvions prendre la tête de la premier League…

Dans le marathon qu’est la premier league nous avons eu droit a une pause boisson a la maison contre Huddersfield. Avec une equipe remanié en vue de la Ligue Europa c’est Sergio Martinez qui nous a offert la victoire d’un pointu au retour des vestiaires.

On reste a Anfield pour défier Aston Villa en FA Cup. Les villans très en jambe ces derniers temps ont profité de l’inexpérience de nos joueurs pour ouvrir rapidement le score par JAck. Mais les jeunes sont montés en régime petit a petit et Scott Johnson commence a être décisif. C’est lui qui a la demi-heure de jeu a égalisé d’un pointu magistrale. C’est aussi lui qui a lancé Ongenda en profondeur permettant a celui ci de nous donner l’avantage. Et c’est encore lui qui à l’aurée du dernier quart d’heure a inscrit le troisième but après un jolie echange avec le jeune Wildgrass.

On attaquait donc le premier match contre Rijeka plein de confiance et frais physiquement mais les croates adeptes du jeu physique on réussi l’exploit de nous priver de notre principal atout. Facundo sécher par Dragostic ne se releva pas… Ongenda l’a remplacé au pied levé et heureusement pour nous il était dans un grand jour inscrivant un joli doublé, le premier sur une passe D de Muniain et le second d’une tête parfaite. Auparavant Clyne qui dispute sa dernière saison ici a un inscrit son second but avec les reds d’un centre tir imparable. Les croates gardent néanmoins espoirs en inscrivant un but en toute fin de match.

Entre deux matchs de coupe d’Europe on fait une petite pause championnat en recevant une nouvelle fois Aston Villa. Et cette fois la bataille fut intéressante. Si Sergio Martinez a idéalement lancé le match en ouvrant le score, Pereira lui a répondu dans la foulée. C’est ensuite Muniain puis Ongenda nous redonnèrent l’avantage. Success redonnât un peu d’espoir avant la pause. C’es T’en Heuvel qui calma toute idée de rébellion en fin de match.

On a ensuite fini Fevrier contre les croates. En l’absence de facundo ce fut dur mais Henderson inscrivit un nouveau but son 98ème avec les Reds. Mais les croates nous ont surpris heureusement la différence était faite depuis le match aller…

[Groot]

Liverpool - Le Napoli prend une option et renvois Chilavert a ses études.

Face à son concurrent direct, Liverpool, Naples n’a pas manqué l’occasion ce jeudi d’asseoir sa supériorité en Europa League. Les Partonopei l’ont emporté 2-0.

Irrésistible depuis le début de la saison, mais sans avoir eu à affronter des « gros », Naples passait ce soir son premier test important de la saison. Il a été réussi. Contre Liverpool (dauphin de Premier League), l’équipe de Ciro Ferrara a maitrisé les débats de bout en bout et elle en a été récompensée par une belle victoire (2-0). Joao Silva a mis deux buts alors que les défenseurs italien de l’équipe, Mahmoud Farag et Giuseppe Prestia ont signé des performances très convaincantes. Avec cette victoire, les Napolitains sont définitivement les favoris pour la conquête du titre cette année en Europa League.

Le bijou de Silva.

Pensant d’abord à bien défendre, les deux équipes ont attaqué le match un peu avec le frein à main. Mais, progressivement, Naples a pris le jeu à son compte. Même en l’absence de Lorenzo Insigne, blessé, les napolitains ont su prendre l’ascendant en milieu de terrain et les Reds n’ont pas pu leur faire face. L’ouverture du score, survenue à la 24e minute, était tout à fait logique. Elle fut l’œuvre de Joao Silva. Sans but marqué en Serie A depuis sept mois, l’international portugais faisait mouche en deux temps. Sa première reprise de la tête a échoué sur le poteau, et la seconde, d’une volée du droit, a fini au fond. A l’origine de l’action, il y avait un superbe centre de Vitaly Larin. Sous les yeux de son sélectionneur Alexander Karpin, présent dans les tribunes de San Paolo, l’ex du CSKA se montrait ainsi décisif.

Après ce but, on s’attendait à ce que Liverpool réagisse. Mais, ce sont les napolitains qui ont continué à attaquer. La bande à Ferrara avait les opportunités pour doubler la mise mais Joao (21e et 45e) et Angel Correa (28e et 33e) ont manqué le break. Côté opposé, Brice Samba n’a pas eu beaucoup de travail. Le dernier rempart congolais a juste a eu à se coucher sur un tir lointain de Sergio Martinez (31e). Attendu pour se mettre en évidence contre l’équipe qui a mis 47.3M€ sur la table pour ses services, l’Espagnol s’est montré plutôt discret durant son premier acte de jeu. Trop isolé et sevré de ballons, il s’est juste illustré en provoquant le jeune de Digne. Un manque de rentabilité qui n’a pas échappé à son manager de José Luis Chilavert, d’où le choix de faire entrer l’anglais Scott Johnson dès la reprise.

Avec l’entrée en jeu du jeune du cru, Liverpool a connu un sursaut en début de seconde période. Mais, il n’a pas trop duré. Les Merseysiders se sont juste créé une occasion avec un tir de Henderson qui est passé au dessus (50e) avant de lâcher du lest de nouveau. Angelo Henriquez n’a pas été assez opportuniste sur ses deux occasions (55e et 57e) pour en profiter, mais Joao Silva, lui, ne s’est pas loupé. A l’heure du jeu, le portugais plaçait une superbe frappe de l’extérieur de la surface. Elle a fini en pleine lucarne. Avec ce 6e but marqué cette saison, toutes compétitions confondues, le milieu de terrain mettaient un gros coup massue sur la tête des Reds. Ces derniers ne s’en sont jamais remis. A l’exception d’une frappe de Witoszynki sur le poteau (74e), ils n’ont jamais été en mesure de revenir dans le match. Chilavert avait affirmé que ce duel face à Naples va leur dire « quel rôle » ils pouvaient vraiment tenir cette saison en Europa League. Il a certainement la réponse à sa question.

[Groot]

Liverpool - La lutte avec Manchester City et José Mourinho continue.

Alors que ce premier match contre Naples, et avant d’attaquer le retour et de démarrer une lutte sans merci avec le Napoli, 2 journées de championnat nous attendent. On a d’abord reçu Cardiff, les gallois nous avait bien gêné au match aller, en nous faisant tomber 4-3. Mais cette fois nous avons pris notre revanche. Tout s’est joué en seconde période, alors que Facundo Witoszynki est toujours absent sur blessure, nous devions trouver un plan B afin de rester performant en son absence. Hervin Ongenda s’est alors révélé d’un grand secours. Carlos Vera a d’abord ouvert le score sur un service idéal de l’international français. L’ancien parisien s’est ensuite mis un peu plus en valeur en doublant la mise en prenant de vitesse toute la défense galloise. Enfin sur un corner d’Iker Muniain, c’est Neil Powell qui a scellé la marque d’une tête rageuse.

Dans la foulée on se rendait a Stoke City. J’avais mis en garde les garçons de faire un gros match dans le but de faire peur aux émissaires napolitains. Et ce plan fonctionna a la perfection puisque nous avons atomisé Stoke. Après 25 minutes nous menions déjà 4-0. Ongenda avait ouvert le score après 24 secondes de jeu. Sur deux coups de pieds arrêtés Neil Powell a ensuite aggravé la marque. Sergio Martinez a ensuite alourdi encore le score portant l’avance a 4 buts. Le rythme retomba légèrement avant de remonter en début de seconde période. Sergio Martinez a transformé un pénalty sur une faute du latéral adverse. Enfin Carlos Vera a inscrit le sixième but de ce match. Le but en fin de match de Wilson ne changera rien mais notre but était rempli.

[Groot]

Yannick Joosten arrète trois tirs au but et envoie les Reds en Quart de Finale.

Près de cinquante mille spectateurs (45.653) garnissaient jeudi les tribunes d’Anfield où le champion d’Italie le SCC Napoli, sans son capitaine de la Roja Alvaro Morata mais avec Kurt Zouma en défense centrale, se mesurait à Liverpool pour une qualification en quart de finale d’Europa League.

Alors que nous accusions de retard deux buts après un match aller complètement dominé par les napolitains. Mais ce match retour fut différent. Dans la lignée de notre prestation contre Stoke City, nous avons complètement renversé la vapeur. Les napolitains ont eu du mal a comprendre ce qu’il s’est passé. Ce match marquait le retour de Facundo après sa blessure. Et le ballon d’or paraguayen a parfaitement négocié son retour. D’abord en servant Sergio Martinez après la 30ème minute, l’espagnol parfaitement lancé n’as pas eu de mal a conclure. Puis 3 minutes plus tard c’est Facundo lui même qui clôturé la note de l’aller en inscrivant un superbe coup franc. Peu de choses se sont passés ensuite malgré toutes nos volontés de faire la différence. La décision s’est joué au tirs au but. Tous ont scoré de notre côté mis a part Hervin Ongenda. Mais c’est Yannick Joosten qui a fait la différence stoppé 3 tentatives des napolitains. Ainsi on se rend en quart de finale

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Kevin Willgrass, la pépite de Liverpool et de l’Angleterre.

Liverpool possède une effectif restreint et les résultats ne sont pas encore au niveau de ce que les fans attendent de la révolution entamée l’été dernier, mais cela a au moins le mérite de permettre à quelques jeunes de jouer en Premier League. Focus sur la nouvelle pépite des Reds, âgée de seulement 17 ans et promise à un bel avenir.

Arrivé à l’âge de 15 ans chez les Reds en provenance de QPR alors que beaucoup de clubs suivaient ses prestations, Kevin Willgrass fut acquis pour la coquette somme de £600.000. Lancé en début de saison par José-Luis Chilavert, il a déjà été titularisé 10 fois avec Liverpool cette saison. Le petit ailier (1,73m) est une des rares pépites du Liverpool de Brendan Rodgers, depuis quelques années . Sa vivacité fait des ravages avec un Facundo Witoszynki qui attire l’attention des défenseurs sur lui en priorité.
Willgrass a enfin pu fêter son premier but avec les pros face à Reading après avoir souvent gâché de nombreuses occasions, ce qui a tendance à énerver Sergio Martinez et son sang chaud. Il provoque et évite ses opposants avec aisance mais au moment du dernier geste, il manque de lucidité. Lors du derby contre Manchester à Old Trafford le 12 Janvier dernier, lui ainsi que les 2 autres très jeunes Reds (l’Espagnol Bayon et le latéral droit argentin Bruno Cabral) sont passés à côté de leur match, cet important derby étant joué au caractère avec un engagement dans les duels impressionnants. Ces mêmes jeunes ont bien animé le match contre Tottenham une semaine plus tard qui vit Liverpool ne pas faire mieux qu’un nul. L’équipe semble toutefois mieux rodée avec des bonnes séquences qui ne sont, malheureusement, pas assez régulières.

L’Angleterre et non la Jamaïque

Né à Kingston, capitale de la Jamaïque où il vécut avant de débarquer à Londres à 5 ans, Kevin Willgrass possède la double nationalité. Mais son talent est remarqué depuis longtemps en Angleterre, il a évolué sous le maillot des jeunes Three Lions, et prochainement avec les A.
Il avait déjà été appelé comme renfort lors du match qualificatif face à l’Ukraine. Et alors qu’il avait été conservé dans le noyau pour les matchs contre Saint-Marin et la Pologne, le sélectionneur des U21, Stuart Pearce, avait convaincu Roy Hodgson de lui laisser le jeune Willgrass pour les importants playoffs contre la Serbie.
Son pays d’origine a bien tenté de le convaincre, mais les Anglais ont été plus rapide et la Jamaïque ne pouvait évidemment pas rivaliser avec la puissance de l’Angleterre. Mais surtout Willgrass y joue depuis plusieurs années, notamment avec les équipes nationales espoirs. Il a été appelé par Hodgson pour affronter la Suède en amical avec, à la clé peut-être, son premier match et faire partie du top 3 des joueurs les plus jeunes de la sélection anglaise.

Il faut le protéger

« Il faut faire attention avec les jeunes joueurs. Ils peuvent être surestimés trop vite. C’est habituel en Angleterre. Ils jouent un bon match et sont promu au rang de star. Vous les voyez jouer ensuite à 23 ou 24 ans et vous vous demandez pourquoi ils ne sont plus des stars ». C’est ce qu’a déclaré récemment José-Luis Chilavert qui tente de calmer l’attraction autour du jeune Willgrass. Il était favorable à ce que son joueur reste avec les U19 anglais en début de saison afin de ne pas brûler les étapes, mais la situation actuelle est bien différente. Roy Hodgson en est fan et le propulse déjà en sélection.
Son capitaine à Liverpool ainsi qu’en équipe nationale suit le même avis que Chilavert : » C’est un garçon calme qui veut apprendre et écouter. Son impact a été fantastique mais il ne faut pas se précipiter sur lui ou placer des attentes sur lui. Mais il a le talent pour être régulier dans cette équipe. »
Avec un salaire de £2.000 par semaine, le joueur a annoncé sur Twitter qu’un nouvel accord serait signé le jour de ses 18 ans, le 8 décembre prochain. Cependant Willgrass a supprimé ce message peu de temps après. Un autre tweet a laissé entendre que les rumeurs d’une demande de salaire hebdomadaire de £50.000 étaient totalement fausses. Ce réseau social a également permis de savoir que le jeune homme est déjà père, suite au tweet d’une femme de 23 ans indiquant que sa fille était fière du match de son père. Seulement âgé de 16 ans à cette époque, le club de Liverpool a refusé tout commentaire à ce sujet pour protéger son talent.

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Tirage Europa League - Une finale avant l’heure.

Le FC Liverpool sera opposé a Schalke 04 en quart de finales de la Ligue Europa.

L’histoire se répète souvent. Pour la 4efois en coupe d’Europe, le FC Liverpool et Schalke 04 s’affronteront en Quart de finales de la compétition. Une finale avant l’heure tant les deux équipes faisaient, à ce stade, figure de grands favoris de la Ligue Europa. En quête d’un huitième sacre européen, Liverpool, qui pourrait être privé de sa vedette Facundo Witoszynki (en délicatesse avec une rotule) pour le match aller à Gelselkirchen, devra écarter de son chemin son vieil ennemi Raphael Dias pour s’ouvrir les portes des demi finale.

Ancien mentor du FC Porto, l’entraîneur de Schalke 04 espère lui entrer dans l’histoire en permettant à l’armada de la Ruhr de devenir la première équipe à parvenir à remporter 3 fois de suite la compétition depuis la création de la Ligue Europa en 1993. En quart de finale pour la seconde année consécutive, les merseysiders souhaitent prendre leur revanche sur un adversaire allemand qui les avait éliminés aux tirs au but, il y a un an à ce stade de la compétition.

La présence sur le banc de José-Luis Chilavert, qui n’a jamais été battu par un club allemand en C1+C3 (quatre succès, deux nuls), rassure Liverpool. «Schalke est devenu est un des clubs les plus prestigieux du monde, ce sont les doubles champions en titre. Ils ont une équipe extraordinaire aux niveaux collectif et individuel. Ce sera sans aucun doute un adversaire extraordinaire pour nous. Mais nous espérons arriver en finale. Nous savons que ce sera difficile, mais nous avons confiance dans nos joueurs», a réagi Steven Gerrard,adjoint de Chilavert et légende des Reds, après le tirage au sort à Nyon.

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Schalke 04 - Liverpool (4-2), Les Allemands et Krstulovic se subliment

Schalke a signé ce jeudi l’une de ses meilleures prestations de la saison. Porté par son public, il a fait tomber Liverpool sur le score de 4-2 et prend une sérieuse option sur la qualification.

Schalke 04 s’est rapproché d’une nouvelle finale de Ligue Europa contre son rival du soir, Liverpool, au terme d’une rencontre maîtrisée de bout en bout et soldée par une victoire 4-2. La première période est très animée entre deux équipes qui jouent sans crainte. Les Reds semblent plus à l’aise avec des bons mouvements initiés par De Bree. Dès la 4ème minute, le milieu de terrain qui vient de prolonger s’appuie sur Witoszynki qui lance Martinez. L’attaquant évite Mandanda mais s’excentre et ne peut convertir.
Légèrement dominés dans le jeu, les allemands s’en remettent aux coups de pieds arrêtés. Peu avant la mi-temps un long ballon flottant de d’Oscar Recoba prend la défense des Reds à revers. Kstulovic, titularisé en l’absence de Julian Draxler, saute et prolonge le rebond de balle au fond des filets de Joosten (1-0, 45ème).

La volonté des attaquants anglais est récompensée moins de vingt minutes plus tard lorsqu’une action initiée sur l’aile droite est renversée vers la gauche où Luke Shaw adresse un centre au second poteau que Powell redresse de la tête. La balle se loge dans le petit filet opposé de Casteels, impuissant (1-1, 60ème).Cependant l’élan des allemands semble inarrêtable tandis que Liverpool balbutie son football dans les vingt derniers mètres malgré l’égalisation. La détermination de Martinez vient pourtant contrecarrer la domination allemande. Reçevant le ballon aux trente mètres, il s’avance et place une frappe magistrale que CAsteels ne peut que légèrement toucher avant qu’elle ne termine sa course dans ses filets (1-2, 64ème).
On croyait le match relancé mais les vélléités anglaises sont tout sauf entreprenantes. A nouveau balbutiants dans la moitié de terrain adverse, les coéquipiers de facundo Witoszynki se font prendre sur un bon ballon de Marini vers Krstulovic dont les efforts sont récompensés après un double crochet sur Powell et Shaw (2-2, 65ème).

La quinzième réalisation de la saison du buteur croate, sa première depuis février a la Veltins Arena, récompensait sa détermination depuis le début de la soirée. Sans doute l’ancien borussen entretient-il l’espoir de faire partie du groupe de Slaven Bilic pour l’Euro 2024 ; quelques minutes plus tard il profite d’une nouvelle offensive du club de la Rhur ponctuée par des frappes de Mutombo et Marini pour inscrire un troisième but (3-2, 70ème). Mais sa seizième réalisation de la saison sera finalement attribué a l’international argentin Andrea Marini.
José Luis Chilavert décidait de faire entrer Scott Johnson pour relancer les siens ; celui-ci s’illustrait à la 72ème minute après une intervention peu sereine de Casteels sur un centre de Shaw.
Quinze minutes plus tard, Krstulovic trouvait Marini à l’entrée de la surface. L’attaquant argentin mettait son corps en opposition pour se débarrasser de Shaw et inscrire le quatrième but de son équipe (4-2, 92ème). Le cours du match était largement en faveur des allemands. Malgré une baisse de régime consécutive à leur avance au score, les joueurs de Dries Mertens n’étaient guère inquiétés en fin de match.

Schalke se place ainsi idéalement avant de se déplacer a Anfield dans une semaine pour tenter de se qualifier pour sa quatrième demi)finale consécutive avant pourquoi pas de remporter sa troisième League Europa Consécutives.

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Liverpool - Avril, 1ère Partie, Le titre encore en vue…

Entre ces deux matchs d’Europa League c’est la Premier League qui reprend les rênes. Et contrairement a ceux que prédisais beaucoup de mauvaises langues, nous sommes en Avril proche de la fin du championnat et nous sommes parmi le wagon de tête.
C’est donc à Reading que notre parcours nous mène, chez le surprenant cinquième de Premier League. Auteur d’une saison en tout point respectable le petit club de Reading a lui aussi fait taire les critiques accrochant notamment City, United ou encore Arsenal. Mais cette fois pas le temps de pavaner. Globalement bougé par notre coriace adversaire en première période on a pourtant rapidement mené 3-0, il faut dire que dés que Facundo est en forme c’est tout de suite compliqué pour notre adversaire et ce soir il était au top. Il a d’abord ajusté le gardien de Reading d’un coup franc dans la lucarne. Avant de le tromper d’une mine des 25m trois minutes plus tard. A peine 10 minutes après il servait idéalement Sergio Martinez qui ne se fie guère priés pour tromper la défense adverse. On a ensuite baissé de rythme jusqu’a l’heure de jeu. Sergio Martinez signais alors lui aussi un doublé sur un service de Muller. Reading a ensuite réussi a réduire rapidement le score avec un peu de chances, la frappe de Krasic retombant sur Joosten. Mais dans la foulée nous inscrivimes un cinquième but sur un centre tir de Bruno Cabral.

Dans la foulée on affronté Manchester City. Les Citizen et leur armada, sont éliminés de chaque compétitions et non plus que le championnat a jouer. Pour autant les citizens nous ont fait tomber sur un but chanceux du jeune Oliveiro.

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Liverpool - Une qualification au forceps.

Schalke y aura cru l’espace de 55 minutes. Mais, ils n’ont malheureusement pas su résister assez longtemps à un Liverpool séduisant et porté par son superbe public. Après les buts de T’en Heuvel en première période, ce dernier a envoyé les siens en demi-finales en finissant le travail après 57 minutes de jeu. Une réalisation en forme de coup de semonce pour les allemands mais pas forcément imméritée pour les Reds.

Schalke y était presque

En conférence de presse, lundi, Raphael Dias avait insisté sur la nécessité pour son équipe de se montrer conquérante et de ne pas subir les événements. Un message que ses joueurs ont entendu mais à moitié seulement. S’ils ont entamé la rencontre avec la volonté de jouer haut et s’éloigner le plus possible de leur camp, Draxler et ses partenaires n’ont pas réussi à se montrer menaçants. Yannick Joosten n’a ainsi rien eu à faire sur sa ligne tout au long de la première mi-temps du match. Sa défense a parfaitement su couper la relation entre les attaquants allemands, à l’instar de Neil Powell, beaucoup plus solide qu’il ne l’était à l’aller. En maitrisant les attaques teutonnes, les Reds ont pris confiance en leurs capacités et ce malgré la sortie rapide de Facundo Witoszynki sur blessure.

Le paraguayen a dû céder sa place très rapidement, mais son remplaçant, Hervin Ongenda, l’a parfaitement fait oublier. Peu après la demi-heure du jeu, le français s’est retrouvé à la réception d’une longue touche. Libre de tout marquage, il n’eut aucun mal à placer une frappe du droit. Casteels, qui avait auparavant réalisé un superbe sauvetage sur un coup franc puissant de Muller, ne pouvait que s’incliner sur coup de pieds dévié par T’en Heuvel. Alors qu’il restait encore deux tiers de la rencontre à jouer, les Reds avaient alors refait la moitié de leur retard au niveau du score sur l’ensemble des deux matches. Un scénario qui a quelque peu déstabilisé les allemands, irréprochables défensivement jusqu’au but concédé. Une nervosité est apparue dans le camp teuton et elle s’est traduite par le carton jaune pris par Julian Draxler. Ce même Draxler qui avait cru mettre a l’abri ses coéquipiers deux minutes auparavant en transformant un penalty obtenu pour une main de Clyne. Ten Heuvel redonna l’avantage au siens quelques minutes après en reprenant un coup franc d’Iker Muniain.

Les 15 minutes de la pause étaient censées faire un peu du bien au leader de la Bundesliga. Ça n’a pas été le cas puisque dès la reprise ils concédaient deux occasions nettes qui auraient pu les faire sombrer. En l’espace de deux minutes, Muller et Martinez (52e et 53e) ont tous les deux trouvé la transversale. Il y eut ensuite une mini-réaction allemande avec un coup franc de Draxler qui contraint Joosten à une belle envolée. Mais, pas de quoi renverser la tendance. Liverpool avait pris le contrôle des hostilités, l’a gardé jusqu’au bout. Tout en s’exposant à quelques contres, les merseysiders ont poussé et ils ont fini par ajouter ce deuxième but décisif. Il restait à peine trentes minutes à jouer dans le temps réglementaire lorsque T’en Heuvel, a envoyé les siens en demi-finale. Un but qui a délivré Anfield, en même temps qu’il a frustré tout le peuple de la Rhur.

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Liverpool - Avril, Suite et Fin.

On reprend donc notre route anglaise avec un déplacement a Londres pour défier Tottenham en FA Cup, une fois de plus les jeunes se sont bien battus. Mais cette fois ils ont affronté une grosse equipe. Le match fut rythmé et les jeunes joueurs de notre club se sont bien défendus. Même si on a dominé on s’est rapidement fait surprendre par Maputu qui as pris notre défense par surprise avant de crucifier Erik Hermann. Pourtant Hervin Ongenda avait réussi a égalisé et même a nous donner l’avantage avant que Mr Snowdin ne refuse son but pour un hors jeu imaginaire. Et alors que nous poussions c’est encore une fois Maputu qui nous fit tomber. Notre route en FA Cup s’arrête donc aux portes de la finale. Mais c’est une fois de plus un beau parcours pour ces jeunes qui ont pu s’aguerrir.

Le retour au championnat fut moins difficile. Il faut reconnaitre que Fulham n’est plus la même equipe. Clyne nous as grandement facilité le travail en ouvrant le score d’une frappe de 30m. Becker a égalisé pour Fulham, cependant Sergio Martinez s’est fait plaisir en inscrivant un nouveau doublé. Une fois de plus Powell aura ajouté un but a la sanction.

On a ensuite affronter Arsenal dans un match fermé ou aucun but n’a été marqué.

Pour finir ce mois on a affronter les Saints de Southampton. Facundo Witoszynki a signé son retour sur les pelouses anglaises après sa contracture contracté contre Schalke. Et pour fêter son retour et nous aider dans la course au titre, notre ailier paraguayen a inscrit un triplé. Au programme Coup franc direct, slalom dans la défense et mine de 35m. Les saints non rien pu faire.
Grâce a cela nous revenons a 1 points des Citizen a trois journées de la fin du championnat.

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Liverpool - Un pied en finale de Ligue Europa…

Poussé par son public, Eindhoven a réussi le pari de ne pas s’incliner face aux Reds de Liverpool ce soir (2-2). Mais le plus dur reste à faire en vue de la qualification.

Décidément les matchs aller de cette phase finale se suivent et se ressemblent pour les Reds de Liverpool. Si bien rentrée dans son match avec l’ouverture du score de Sergio Martinez sur un service de Facundo Witoszynki (0-1, 13e), la formation de José Luis Chilavert a ensuite rapidement doublé la mise sur un bon travail de Kevin Ten Heuvel. Puis Liverpool s’est ensuite donnée le bâton pour se faire battre, manquant de multiples occasions de d’aggraver la mise, Martinez en tête, tout d’abord sur un but tout fait au terme d’un joli travail de Muniain (23e), puis sur un penalty tiré par l’attaquant espagnol et parfaitement repoussé par Claar Wijn (25e) le gardien néerlandais, titularisé dans les cages au dépend de Tim Krul. Le tournant du match, à n’en pas douter, Eindhoven trouvant la faille sur sa première réelle occasion de but quelques minutes plus tard, d’une reprise du tibia signée Uzan Sengul à la réception d’un coup-franc de Bakkali (1-2, 28e).

Revenus en vie, les pensionnaires du Phillips Stadion ont alors joué crânement leur chance. Emmenés par un Georginio Wijnaldum des grands soirs, ces derniers ont poussé les coéquipiers de Neil Powell dans leurs derniers retranchements. A tel point que Dempsey, infatigable travailleur s’est offert le luxe d’égaliser pour sa formation au terme d’un mouvement de toute beauté avec l’ancien ajaxien, ne laissant aucune chance à un Yannick Joosten complètement abandonné par sa défense (2-2, 57e). Incroyable retournement de situation, tant les reds semblaient être supérieurs à leurs adversaires durant les soixante premières minutes.

De retour en conquérant, les néerlandais ont tout tenté pour enfoncer le clou. Sans résultat. Mis à contribution sur une terrible tentative détournée de Zakaria Dragui, Joosten a encore joué les sauveurs d’un soir, maintenant le navire anglais à flot d’une manchette dont il a le secret (71e). La clef du succès ou presque, les hollandais pourront remercier Mandy en toute fin de match. Le tacle glissé du défenseur stoppant l’ultime tentative de Scott Johnson, entré en jeu quelques minutes auparavant (90+4e). Il faudra donc attendre encore quelques jours pour voir si Liverpool peut disputer une nouvelle finale de Coupe d’Europe.

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Liverpool n’a fait qu’une bouchée de Eindhoven lors de la demi finale retour de l’Europa League.

Après un nul prometteur entre Liverpool et Eindhoven, les Reds ont fait volés en éclat la défense des néerlandais

En lice pour le titre en championnat, les Reds de Liverpool ont retrouvé leurs vertus et leurs forces de frappe ce soir lors de la réception de Eindhoven en Ligue Europa. Comme s’il suffisait de retrouver l’Europe pour gommer tous les soucis qui ont plombé la saison des Reds. Bien sûr, il vaut mieux attendre encore un peu avant de décréter que le grand Liverpool est de retour, mais sur ce que Witoszynki et consorts ont pu montrer lors de cette soirée, on ne peut qu’être confiant quant à leur future titre en Angleterre. Face aux champions des Pays Bas, et en dépit d’une seconde période moins enlevée que la première, les protégés de José Luis Chilavert se sont rassurés et ont aussi rassuré leurs supporters.

Sergio Martinez frappe dans le mille.

Ceux qui s’interrogeaient sur la capacité de réaction de Liverpool après ses deux saisons décevantes ont très vite obtenu leur réponse. Face à une équipe de Eindhoven venue uniquement pour défendre mais sans vraiment savoir le faire, les Reds ont eu besoin d’une petite demi heure de jeu seulement pour prendre les devants à la marque. Une réalisation signée par le sublissime paraguayen Facundo Witoszynki à la suite d’un centre de Luke Shaw venu de la gauche. Une fois que son verrou a sauté, l’arrière-garde néerlandaise a prise l’eau de toute part et les attaquants de la Mersey s’en sont donnés à cœur joie pour corser l’addition. A la pause, il n’y avait déjà plus de suspense dans cette partie avec un écart de trois unités au tableau d’affichage. Un écart qui aurait même pu être plus lourd sans la maladresse inhabituelle de Sergio Martinez.

Contrairement à ses partenaires, Martijn De Bree n’a pas soigné ses statistiques, mais il fut au départ de quasiment toutes les actions qui ont compté. Après avoir mis à contribution le portier adverse d’une frappe de loin (26e), le Croate a lancé superbement Sergio Martinez pour le but de break. Et c’est encore lui qui, quelques minutes plus tard, alertait le guarani Carlos Vera avant que ce dernier ne trouve Facundo dans la surface pour le but de 3-0. L’ancien de l’Ajax ne fut, en revanche, pour rien sur la quatrième réalisation des Merseysiders. Réussie par Sergio Martinez, buteur pour la dixième fois en C3 sous ses nouvelles couleurs cette saison, elle fut consécutive à une tentative de Iker Muniain, mal détournée par le gardien néerlandais. L’Espagnol s’était alors réveillé après un début de partie où il est resté discret et pas aussi inspiré que ses partenaires.

Comme on pouvait le redouter, la deuxième mi-temps a été moins intéressante que la première. Ayant fait le plus dur, les Reds n’ont pas jugé utile de faire trop d’efforts. Un peu de suffisance qui aurait pu leur couter cher puisque les néerlandais sont d’abord revenu puis ont manqué à deux reprises de porter la marque à 4-2. Bakkali a trouvé le poteau et fort heureusement qu’il y a eu Yannick Joosten pour repousser une occasion de Delgado. Abandonné par sa défense, le capitaine néerlandais des Reds en l’absence de Jordan Henderson a sorti l’arrêt qu’il fallait pour empêcher les hollandais de croire à un come-back. Ça valait bien quelques applaudissements de la part des fidèles de Anfield. Ceux-là même qui l’avaient copieusement sifflé le week-end dernier. Piqués au vif par cette opportunité concédée, les Reds sont reparti de l’avant et ont fini par ajouter un cinquième but. C’est le français Hervin Ongenda qui paracheva le succès de son équipe en réalisant un bel enchainement contrôle-frappe en puissance sous la barre suite à un une-deux avec Facundo. Un but symbolique puisqu’il s’agissait du 1000e de l’histoire des Reds en Coupe d’Europe

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Liverpool - Une fin de saison de haute lutte en Angleterre.

Les données de cette fin de saison sont assez simple, un point nous sépare de Manchester City dans la lutte pour le titre. Il faut aussi savoir qu’avec 6 buts de retard en goal average il va falloir qu’on s’attarde a faire sauter les défenses adverses. Dans cette lutte a distance Norwich pourrait jouer un rôle fondamentale. En effet les canaris ayant déjà finis leur saison car trop loin de la zone Europe comme de la zone de relégation vont pourvoir jouer les arbitre de ce championnat.

Dans ce périple de fin de saison nous avons commencé par la réception de Nottingham Forest, à l’entrée des joueurs on a senti une volonté de nos adversaires du jour de jouer physique. En effet 15eme a 4 points du premier reléguable, les temps sont corsés. D’entrée les sécateurs furent de sortie. En même temps avec Joey Barton comme entraineur, il ne pouvait en être autrement. Les cartons ont plu en première période. Higuchi en a pris un pour avoir saquer la cheville de Martinez, ce dernier a aussi été sanctionné pour avoir gifler son adversaire… Les joueurs de Forest visiblement voulais le casser, et le bougre s’est venger. A la 35ème minute, résistant a un tacle odieux de Killighan puis s’en va fusiller Sheppard. Le retour au vestiaire fut tendu, Martijn De Bree répondant aux provocations de Marian Sarr, Mr Probert ne chercha pas et expulsa les deux joueurs. Dans ma causerie j’exhorta mes joueurs a tuer tout suspense rapidement pour s’éviter une recrudescence de tacles a la gorge. Et les garçons m’ont entendu. Sergio doubla la mise d’entrée d’une tête puissante, avant que deux minutes plus tard Iker Muniain ne signe le 3-0 d’un puissant coup franc. Sergio signa même un triplé lorsqu’il disposa de Sheppard d’un lob astucieux à l’heure de jeu. 4-0 le score fut sans appel. On perdit pour autant Markus Muller violemment racler par Killinghan. L’international expulsé ne nous rendra pas Muller qui devrait être absent un petit moment. Dans le même temps City a étriller Stoke City 7-1 avec un quintuplé de Anthony Martial que les citizens ont perdu dans le foulée.

Dans la foulée on se rendait a Norwich. Les canaris n’ont pas pesé bien lourd visiblement déjà en vacances. C’est Kyle McGhee qui ouvrir le score sur un corner de Facundo Witoszynki. Sergio Martinez signa un nouveau triplé en fusillant dans son style si caractéristique le malheureux gardiens. En fin de match, alors que Norwich se rebella au point d’inscrire un but encaissa une nouvelle sentence avec un but de Facundo Witoszynki. Très bonne opération pour nous puisque Manchester City a concédé le nul a Cardiff City. Dans l’histoire nous revenons a égalité parfaite et a -2 en différence de but. Il faudra donc tout donner sur le dernier match pour ne pas être déçu.

On finit donc avec la réception de Watford bon dernier et déjà relégué. Mike Brown a décidé de faire tourner afin de faire jouer les jeunes qui resteront en Championship l’an prochain. Ainsi la défense de Watford n’as pas tenu et s’est fait transpercer par Facundo Witoszynki auteur d’un quadruplé plein de classes. Dans le même temps les Citizen se sont incliné sur un but a la dernière secondes de Killingham. On finit donc Champion d’Angleterre. Cela faisais 34 ans que les Reds de Liverpool n’avais pas remporté le Graal.