:storyred: :S11: Bound For Glory II

Très belle saison!!!

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Je quitte le club à la montée et je rattrape mon retard et bam une coupe !

Bravo pour ce beau parcours. Impatient de découvrir où la saison suivante va te mener !

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Oh que c’est joli cette victoire en Coupe :+1::+1:
Et yne belle 6eme place :wink:

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La Couuuuuuuuuuuuuuuuuuuupe !
Plus une belle 6e place. Que demander de mieux ?!

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Quelle saison!
Une coupe jamais facile à soulever, mais elle est à toi, bravo !

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Félicitations ! Cette première saison en Bundesliga est une belle réussite :exploding_head:

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bravo pour la coupe et cette belle 6e place

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Incroyable première saison dans l’élite quelle saison avec cette Coupe :clap:
Le Hansa en C3 :europa: :europa: :europa: !

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Félicitations pour cette grande saison, c’est vraiment une belle réussite !

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Bordel ! Ils l’ont fait . Maintenant, a viusbde bousculer l’Europe. Hâte de voir ca !

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« Bonjour à vous tous. Je ressens un grand sentiment de fierté et une vraie reconnaissance envers mes gars qui ont donné leur maximum pour que nous puissions atteindre nos objectifs. Désormais, nous prenons un peu de repos avant de revenir plus motivé que jamais pour faire grandir ce formidable club. Nous aurons du pain sur la planche, d’autant plus que la saison prochaine, nous disputerons l’Europa League. C’est vraiment excitant de se dire que d’ici quelques mois, nous découvrirons ensemble le plaisir des compétitions européennes. »


- Leon Hartmann, entraineur du F.C. Hansa Rostock -

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Rostock ne perd pas de temps!

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01 Juillet 2024
:bust_in_silhouette: Bastian Keldermann

Le F.C. Hansa Rostock ne perd pas de temps dans la préparation de sa saison. Tôt ce matin, le club allemand a annoncé via son compte Twitter plusieurs départs au sein de son effectif, ceux de John Verhoek et Lukas Fröde, en fin de contrat, mais également celui plus inattendu de Morris Schröter. Dans la foulée, les Hanseaten ont annoncé la signature de deux joueurs, à savoir Dennis Praet, ancien milieu de Leicester, et Bernd Leno, alors portier de Fulham. Décryptage de ces différents mouvements.

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La fin d’un chapitre

Pour John Verhoek et Lukas Fröde, la situation était sensiblement équivalente. Si le premier avait toujours un (petit) rôle à jouer au sein de l’équipe première, il apparaissait comme évident que ni l’un ni l’autre n’avaient le niveau pour évoluer durablement avec les Hanseaten. Ces non-reconductions de contrat ne sont donc pas une surprise. Rostock est sur une pente ascendante, sur un projet ambitieux de retour sur le devant de la scène allemande. Fröde comme Verhoek représentent un chapitre de l’histoire du club qui se veut désormais révolue.

Concernant Morris Schröter, son départ est mois évident. Il faut dire que le polyvalent joueur avait un rôle certain dans l’équipe. Si sous les ordres de Leon Hartmann, il n’a jamais pu briguer une place de titulaire, sa capacité à évoluer à différents endroits du terrain lui ont toujours permis d’accumuler les minutes. A 28 ans, Schröter aspirait cependant à plus de temps de jeu. Il est probable qu’au sein de sa nouvelle formation, le Vitesse Arnhem, ce sera possible.

Praet à la relance

C’est en mai 1994 que Dennis Praet voit le jour, du côté de Louvain, en Belgique. Si le jeune homme fait principalement ses classes au sein de l’académie de Genk, c’est à Anderlecht qu’il signe son premier contrat professionnel. Au sein de l’équipe belge, le jeune milieu grandit et progresse, se rendant de plus en plus indispensable. Eté 2016, l’international quitte son pays natal, direction l’Italie. Courtisé par plusieurs formations, c’est finalement du côté de la Sampdoria qu’il pose ses valises. Son adaptation se révèle particulièrement rapide et le milieu de terrain enchaine trois saisons pleines. Suffisant pour convaincre Leicester de miser sur lui en déboursant la somme de 21M € pour s’attacher ses services.

Contrairement à l’Italie, l’international belge peine à vraiment se montrer convaincant outre Manche. Après deux saisons plutôt moyenne, il fait son retour en Serie A en rejoignant en prêt le Torino. Malgré de bonnes prestations, le club transalpin ne lève pas l’option d’achat et le milieu de terrain fait son retour en Angleterre. Praet termine son aventure anglaise par deux saisons contrastées. Si en 2022-2023, il joue régulièrement, toujours en sortie de banc, la saison suivante est bien plus délicate et son club décide de ne pas lui proposer de nouveau contrat.

Dennis Praet est ce qu’on appelle un milieu relativement complet. S’il est plus à l’aise dans le secteur offensif, ses nombreuses années à jouer un cran plus bas l’ont aidé à améliorer les aspects défensifs de son jeu. Doté d’une très belle qualité de passe, il est ce genre de joueur capable de renverser le jeu de son équipe d’une transversale bien sentie. Sa bonne vision de jeu et sa capacité à prendre rapidement les décisions qui s’imposent l’aident grandement. Cependant, Praet est un joueur qui marche surtout à l’affectif. S’il n’a la confiance de Leon Hartmann, il y a une réelle possibilité que ce soit la version anglaise du joueur qu’on retrouve.

Ce qui est certain, c’est que la signature de Dennis Praet annonce (certainement) le départ prochain de Svante Ingelsson tant les deux joueurs ont un profil relativement similaire, bien que le belge soit plus à l’aise sur les tâches défensives. L’international suédois est annoncé depuis quelques semaines en Angleterre. Reste à voir qui d’Everton, Southampton ou encore Leeds posera un chèque en premier.

Retour au pays pour Leno

Bernd Leno est connu et connait très bien la Bundesliga. Formé à Stuttgart, c’est du côté du Bayer Leverkusen qu’il se forge sa renommé. Recruté au mois d’août 2011 afin de palier à l’absence de René Adler, blessé au genou, le jeune portier fait bien mieux que de simplement le remplacer temporairement. En effet, ses performances se révèlent remarquables et décisives, ce qui lui donne quasi imédiatement le statut d’indiscutable dans les cages de Leverkusen. C’est d’ailleurs avec ce club qu’il découvre le haut niveau européen, devenant le plus jeune gardien allemand à jouer en Ligue des champions, record désormais détroné par Timon Wellenreuther.

Leno enchaine les saisons de bonne facture avec la régularité d’un métronome. A l’été 2018, il décide de passer un cap et fait ses valises direction l’Angleterre. C’est Arsenal, en quête de reconstruction, qui pose 25M € sur la table afin de l’enrôler. Ainsi, l’international enchaine trois saisons de bonne facture où il conserve son statut d’indiscutable et son travail est reconnu par les supporters. Cependant, l’arrivée au club d’Aaron Ramsdale signe le début de la fin pour l’allemand. Relegué sur le banc, il ne doit se contenter que des miettes, une situation logiquement pesante pour lui. Ainsi, il décide de quitter les Gunners à l’été 2022, direction Fulham. Au sein de sa nouvelle formation, Leno vit une saison compliquée. La défense se révèle très friable et exposé comme il est, il ne peut faire de miracle. A la fin de l’exercice, la sentance tombe et c’est un retour en Championship pour les Cottagers.

Malgré plusieurs propositions, Bernd Leno décide de rester fidèle à son club est se révèle être lors de l’exercice suivant un artisan du titre et de la montée qui en découle de Fulham. Cependant, tout n’est pas tout rose pour lui. En effet, sa famille souffre du mal du pays et manifeste l’envie de rentrer chez eux. Pour le portier, il n’est pas question de se séparer d’eux. Ainsi, il demande à ses dirigeants un bon de sortie afin de faire son retour en Allemagne. Dès le mois de mai, les premiers contacts se nouent entre l’agent du joueur et le Hansa qui est à la recherche d’un gardien d’expérience.

Si Bernd Leno apprécie de jouer au pied et de participer plus sérieusement au jeu de son équipe, ce n’est pas par son jeu de passe qu’il brille. En effet, les qualités du gardien sont plutôt à aller rechercher du côté de ses aptitudes à réaliser des interventions de qualité, que ce soit sur sa ligne grâce à ses réflexes au-dessus de la moyenne ou de sa capacité à aller chercher le ballon directement dans les pieds. L’arrivée de Leno résonne comme une envie du Hansa Rostock de grandir en profitant de l’expérience de certains joueurs pour former les plus jeunes. Nul doute que Marco Eberhardt, présenté comme un futur grand, pourra profiter pleinement de la présence de Leno au club.


« Voilà un été qui débute bien pour Rostock! Concernant les départs, je pense que c’est assez logique. Malgré l’attachement qu’on peut éprouver pour certains joueurs qui ont marqué l’histoire récente du club, il faut accepter à un moment de passer à autre chose, d’autant plus lorsque le club grimpe les échelons de cette manière. Par rapport aux deux arrivées qui ont été annoncé, nous retrouvons ici le même schéma que la saison passée. Felix Krüger semble aimer recruter des joueurs à relancer. Souhaitons au club le même succès que lors de l’exercice précédent. »


- Ann-Christin Fischer, journaliste -

Fiches joueurs


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Deux magnifiques recrues, j’aime beaucoup !

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Des recrues d’expérience et il t’en faudra pour confirmer cette bonne saison et jouer l’Europe.

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2 très grosses recrues

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« Bonjour à vous. Je suis assez satisfait que les recrutements que nous avons déjà opéré vous plaisent. Bernd Leno et Dennis Praet sont des joueurs avec une très grande expérience. Ce sont des renforts importants pour l’équipe car nous ne connaissons pas l’Europe. J’attends d’eux qu’ils partagent leurs connaissances avec leurs coéquipiers. De plus, nous avons un vrai besoin de nous renforcer avec le nombre de matchs à disputer. Je compte sur eux pour apporter une plus-value réelle au groupe. »


- Leon Hartmann, entraineur du F.C. Hansa Rostock -

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Doku à la relance!

Separation

03 Juillet 2024
:bust_in_silhouette: Bastian Keldermann

Dès son plus jeune âge, Jérémy Doku aura été l’avenir de la Belgique. Pourtant, après des débuts très intéressants, le jeune belge ne parvient pas à confirmer tout son potentiel. Cette arrivée en Allemagne résonne comme une chance en or de se relancer et de prouver à tous qu’il a les épaules pour devenir celui qu’il peut être.

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D’Anderlecht à Rennes

C’est en mai 2002 que Jérémy Doku voit le jour du côté d’Anvers. Presque immédiatement amoureux du football, le jeune belgo-ghanéen montre de vraies aptitudes avec le ballon dès son plus jeune âge. Ainsi, il rejoint l’académie du Beerschot dès 2009 où son jeu impressionne ses éducateurs. C’est simple, Doku est largement au-dessus de la mêlée. En 2012, alors qu’il n’a que 10 ans, il est déjà connu au niveau national. Les observateurs sont unanimes, le jeune joueur est l’avenir de la Belgique à coup sûr. Cette année-là, l’enfant évolue en attaque rejoint l’académie d’Anderlecht, une des meilleures du plat pays.

Quelques années passent, des années où le jeune Doku ne fait que progresser. Entre son potentiel clairement important et l’attitude dont il fait preuve par rapport au travail, il ne met pas longtemps avant d’être observé par de nombreuses grosses formations européennes. Par exemple, Liverpool essaie de convaincre le joueur de mettre le cap vers l’Angleterre. Le belge y réalise un essai qui est d’ailleurs concluant. Alors qu’Anderlecht craint de plus en plus de voir sa pépite partir, c’est un ancien de la maison qui arrive à la rescousse du club bruxellois. Romelu Lukaku lui-même parvient à convaincre Jérémy Doku de lancer sa carrière chez les Mauves, comme lui l’avait fait en son temps.

Jérémy Doku se laisse convaincre par Big Rom et signe son premier contrat professionnel en 2018. Il fait d’ailleurs ses grands débuts avec l’équipe première au mois de novembre. Le jeune ailier s’imprègne de l’esprit de l’équipe première et, lors de sa première saison, reste cantonné au banc. Il faut attendre la saison suivante pour le voir jouer plus souvent. S’il affiche de belles facilités dans le jeu, il peine cependant à se montrer décisif, la faute à un réalisme peu présent.

Alors que sa saison 2020-2021 débutait plutôt bien, avec un rôle important à Anderlecht, et sa première cap chez les Diables Rouges, le jeune joueur décide en octobre de rejoindre la France, et plus particulièrement Rennes. Le club montre ses ambitions en posant pas moins de 26M € sur la table pour s’assurer les services de la pépite. Dès son arrivée, Doku joue beaucoup. Malheureusement, la suite se révèle plus sombre. En effet, l’international belge se blesse à plusieurs reprises, notamment au niveau du genou. Cette fragilité physique et le manque de tranchant lorsqu’il est sur la pelouse font que rapidement, le joueur perd sa place et son statut d’indispensable.

Si lors des saisons 2022-2023 et 2023-2024, l’ailier semble débarrassé de ses pépins physiques, il reste loin du potentiel entrevu chez lui lors de ses jeunes années. Il ne dispute que 23 matchs (TCC) lors de la première saison et 20 rencontres (TCC) lors de la seconde. Las de sa situation, le joueur demande à ses dirigeants dès le mois de mars d’avoir un bon de sortie. A 22 ans, il veut se relancer et ne peut le faire dans l’environnement rennais. Etonnement, peu de clubs se bousculent pour l’enrôler. Certains journalistes font état d’un intérêt de la part de Porto et de Lille, mais à priori, rien de concret. Lorsque l’offre du Hansa arrive sur la table, le club comme le joueur acceptent immédiatement.

Un successeur pour Hazard

Si on pu le voir évoluer sur l’aile droite ou en pointe, c’est bien à gauche, à l’instar de son modèle de comparaison, Eden Hazard, que Jérémy Doku joue le plus, et est le plus à l’aise. Rapide et agile, l’international belge est du genre à porter le ballon afin d’aller faire la différence par un dribble. Sa technique est d’ailleurs irréprochable. Pour autant, le réduire à un simple manieur de ballon ne serait pas juste. En effet, l’ailier est tout à fait capable de se mettre au service de l’équipe et d’aller au charbon. S’il n’est évidemment pas un défenseur, il n’hésite pas à aller gratter quelques ballons et redescendre assez bas afin de soulager le latéral derrière lui. C’est peut être ce qui lui a posé le plus de difficulté la saison passée. Rennes évoluait principalement en 4-4-2 à plat. Dans ce système, Doku se retrouvait régulièrement trop loin de la zone de vérité pour faire parler ses dribbles.


« Jérémy Doku avait conquit la planète football lorsqu’il n’était qu’un adolescent. Si aujourd’hui, la hype autour du joueur est bien descendu, il ne faut pas l’enterrer pour le coup. En effet, il ne faut pas oublier que c’est encore un joueur joueur, 22 ans seulement, et qu’il peut encore progresser. La Bundesliga, championnat offensif par excellence pourrait très bien lui convenir. De plus, la faiblesse de l’aile gauche à Rostock devrait lui assurer un temps de jeu plus important qu’en France.
Cependant, deux question se posent par rapport à cette arrivée. La première est lié au nombres de joueurs évoluant sur l’aile gauche. Haris Duljević et Nils Fröling jouent à ce poste. Difficile d’imaginer un des trois se poser durablement sur le banc. Est-ce que cela signifie un départ? Ou Fröling, qui peut également jouer en pointe, va-t-il être repositionné au poste de buteur? La réponse arrivera certainement dans les prochaines semaines, lors de la campagne amicale du Hansa. La seconde question est plus à aller chercher au niveau de la complémentarité du profil du belge avec le reste de l’effectif. A l’heure actuelle, Leon Hartmann se retrouve sans vrai buteur. Avec la fin du prêt de Joël Piroe et le départ de John Verhoek, il ne reste que des jeunes ou des solutions de remplacement à ce poste. La saison passée, le manque de réussite dans le dernier geste de la part des ailiers avait pénalisé le club qui devait s’en remettre principalement à Piroe. Doku, qui n’est jusqu’à présent, pas un excellent finisseur, pourra-t-il progresser sur cet aspect de son jeu? »



- Ann-Christin Fischer, journaliste -

Fiche joueur

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C’est une superbe recrue et un super coup Doku un joueur taillé pour la Bundesliga avec les qualités qu’il a

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Il va s’éclater avec le Hansa. Belle recrue !

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Joli coup pour Doku !

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